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lundi 9 juin 2014

La revue de presse de The Rover après le Sydney Film Festival

Notre sister site Pattinson Art Work a fait une revue de presse des divers critiques faites de The Rover à Sydney. Merci à Pattinson Art Work

Matt's Movie Reviews: (4 étoiles- excellent)

'The Rover' de David Michôd est un voyage sombre et intense dans un monde ingrat, avec Robert Pattinson qui délivre une performance fascinante, redéfinissant sa carrière dans le processus....Le spectacle des deux hommes que sont Pearce et Pattinson est remarquable. Pearce offre une de ses prestations les plus fortes dans son portrait d'un homme blessé, marqué et endurci par un monde sans compromis, tout en usant d'un regard qui pourrait faire des trous dans les murs.Pourtant, c'est Pattinson qui fascine avec son interprétation de Rey, en prenant soin de jeter cette image d'idole pour adolescentes avec un look sordide et sale, et avec un fort accent du sud. Dépeignant un homme à la capacité mentale limitée, Pattinson est presque enfantin dans une performance teintée de craintes, d'hésitations et de divagations, qui ne tombe jamais dans la caricature, un personnage vraiment sympathique dans un monde indifférent.
Ça se révèle être un choix de carrière post-Twilight intéressant pour Pattinson, qui choisi judicieusement des projets réalisés par des cinéastes plein l'intégrité (deux films de David Cronenberg ont précédé, et des films de Werner Herzog et Anton Corbijn viendront après).





SciFiNow: (4 étoiles)

Guy Pearce et Robert Pattinson sont magnifiques dans ce sombre film de course poursuite futuriste The Rover
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C'est une performance phénoménal de la part de Pattinson, qui évite les choix faciles et les clichés en faisant de Rey un personnage sympathique et réellement touchant. Eric est à la recherche de ce qui lui appartient, et Rey est à la recherche de sa famille. C'est cette relation qui donne à The Rover toute sa puissance. Pearce bouillonne d’une énergie désespérée et brûlante qui s'adapte admirablement aux bredouillements, et tentatives optimistes prudentes de Pattinson. Les moments les plus touchants du film viennent quand la caméra de Michôd s'attarde sur les personnages alors qu'ils sont seuls: Pearce qui regarde une pièce pleine de chiens silencieux en cage, ou Pattinson qui chante tranquillement "Ne me détestez pas parce que je suis beau", en écoutant "Pretty Girl rock" de Keri Hilson sur l'autoradio.
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The Rover est brutale et saisissant, et son sens profond de perte lui donne une profondeur émotionnelle imposante; ce film restera en vous longtemps après le générique de fin.

The L Magazine:

Il n'est pas difficile de deviner que Rey le "simple d'esprit" a quelque chose à enseigner au solitaire et distant Eric sur la valeur de la camaraderie, mais Pattinson est une assez grande révélation pour vous tenir en haleine tout au long de cette route. Parlant avec un accent du sud et luttant avec une sorte de bégaiement, l'acteur se transforme dans une performance fortement maniérée (mais sans distraire), dépeignant Rey, en état de choc, chroniquement nerveux par rapport à ses choix d'alliance.

Sydney Morning Herald: (3 étoiles)

Pattinson, presque méconnaissable dans ce rôle de garçon stupide venu d'Amérique du Sud, rénove son image à l'écran avec cette performance

2ser:

Le film suit le personnage anonyme de Guy Pearce alors qu'il cherche à récupérer quelque chose qui lui a été enlevé. Pour la plus grosse partie de son voyage, il est coincé avec Rey, joué par Robert Pattinson sous une apparence étonnante. Leur relation est du genre périlleuse, qui switch rapidement entre menaces de mort et le fait de sauver la vie de l'un et de l'autre, à plusieurs reprises. J'ai adoré ce film. La cinématographie est magnifique, le design sonore donne le ton parfait et le jeu d'acteur est génial. Les prises de vue du désert sont à couper le souffle, et les montagnes et les villes forment un personnage tout aussi important que ceux des acteurs.

Director's Cut Movies:

Robert Pattinson vole la vedette avec sa performance innovante, Guy Pearce trainant maintenant trop loin derrière. Vraiment pas trop mal en tant qu'acteur Robert Pattinson, c'est juste le matériel qui a amené sa crédibilité au plus bas tel que la saga Twilight. The Rover va littéralement changer le point de vue de tout le monde sur lui. Pattinson donne l'une des meilleures performances masculine de l'année et c'est certainement sa meilleure performance à ce jour ...... Pour résumer, The Rover est un retour triomphal de David Michôd avec un scénario fantastique, une direction brillante, la cinématographie superbe, de la violence choquante et macabre et quelques-unes des meilleures performances de l'année.

Spotlight Report:

Dire que ce film est aussi lugubre que le terrain sur lequel il est situé serait un euphémisme. Lugubre mais beau comme l'est le monde sans pitié qui sert de contexte aux images. Il existe trois stars indéniables dans The Rover - Pearce, Pattinson et le paysage australien qui sont à égales mesures sensationnels, dangereux et inébranlables ...... Alors que Pearce semble être un homme mort à l'intérieur, la douce naïveté et la loyauté de Pattinson sont attachantes. Il a mal placé son espoir dans un monde où il n'y a pas de place pour un tel luxe. Il joue le rôle parfaitement et met en action des muscles de jeu d'acteur qui étaient précédemment endormis dans des rôles moins exigeants pour lesquels il est connu, capturant l'étonnante simplicité de son personnage.

Graffiti with punctuation:

Pattinson est tout simplement incroyable. Oubliez tout ce que vous avez jamais vu avec lui avant, il s'agit du genre de performance qui vous redéfinir une carrière de manière imposante. Comme Leo DiCaprio dans "Gilbert Grape", Ryan Gosling "Half Nelson" ou Al Pacino dans "un après midi de chien" - ce film est celui qui voit le jeune acteur montrer tout son potentiel. Chaque phrase bégayée et prononcée avec un accent du sud métamorphose le britannique rendu célèbre pour avoir été le plus beau des vampires scintillants jamais vu. Voir sa nature influençable absorber la philosophie sombre de notre homme sans nom (Pearce) crée un syndrome de Stockholm tragique, qui affecte également son compagnon.

Source via Robsessed via Pattison Art Work

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