Traduction :
Avec la sortie de "The Lost City of Z" et "Good Time" on pourrait bien se souvenir de 2017 comme l'année où Robert Pattinson est officiellement devenu le chouchou des critiques.
Certains pourraient prétendre que le changement a débuté en 2012, quand l'acteur britannique, encore connu pour avoir fait enflammé les coeurs dans les films "Twilight", a fait un changement de performance dans le film d'art et d'essai de David Cronenberg "Cosmopolis". Depuis, Pattinson a retravaillé avec Cronenberg dans "Maps To The Stars", a fait un travail redéfinissant sa carrière dans le thriller dystopique de David Michôd "The Rover" et a gagné des applaudissements pour ses apparences dans des films dont "Queen of the Desert" d'Herzog et "Life" d'Anton Corbijn.
Mais sa polyvalence n'a jamais autant été manifeste que cette année, d'abord avec son rôle secondaire habilement minimisé de l'explorateur de l'Amazonie, Henry Costin, dans "The Lost City of Z" de James Gray. Suivi par son tour désarmant pour dé-glamouriser la star, dans le rôle du braqueur de banque amateur dans le thriller de Josh et Benny Safdie "Good Time", qui sort dans les cinémas vendredi.