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mercredi 9 septembre 2015

Jour J : Sortie de LIFE dans les salles françaises !

L'attente est enfin terminée !!


Bonne séance à toutes et tous !

Quelques pages consacrées à Robert Pattinson dans le magazine L'Express

Pas d'interview, mais il est toujours plaisant de voir les magazines français dédier quelques pages à Robert !

Cet article est disponible dans le dernier numéro du magazine L'Express  en kiosque depuis ce matin :

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La critique du film :
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Les commentaires d'Anton sur l'une des scènes du film :
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Anton Corbijn parle de Robert Pattinson avec les magazines Première et Télérama


Interview avec 'Première' :

L’idée de caster Pattinson dans le rôle de Stock est géniale. Pas seulement pour l’effet-miroir avec l’icône teenage James Dean, mais aussi parce qu’il est très crédible en artiste qui aimerait bien être pris au sérieux… 
Oui, c’est la grande problématique de la carrière de Robert. Il veut prouver au monde qu’il est un grand comédien -et il l'est, d'ailleurs- et il joue aujourd’hui un photographe qui voulait prouver au monde qu’il était un grand photographe. J’y ai bien sûr pensé, c’était un parallèle intéressant à creuser.
Lire l'intégralité de l'interview --> ICI

Interview avec 'Télérama' :

Quand le projet a été annoncé, certains imaginaient que Robert Pattinson incarnerait James Dean. 
Beaucoup de gens ont sans doute fait inconsciemment le lien entre les deux acteurs. Leurs débuts de carrière, leur notoriété fulgurante et leur charisme ont pas mal de points communs. Mais cela n’a jamais été mon idée. Il n’était pas question de faire un biopic sur James Dean. C’est même le contraire. Ce qui m’intéressait, c’est Dennis Stock, le photographe, à un moment très particulier de sa vie et de sa carrière. Quand il rencontre un jeune acteur encore presque inconnu et dont nous savons, nous, spectateurs, qu’il deviendra un mythe, en partie grâce à ces photos. C’est donc Stock le personnage principal du film. Pour autant, il fallait pour ce projet que l’acteur qui allait incarner James Dean à l’écran soit crédible, sans quoi cela n’aurait pas pu tenir debout.
Lire un extrait de l'interview --> ICI

Les premières critiques de The Childhood of a Leader

Les journalistes ont pu voir The Childhood of a Leader au Festival du film de Venise, l'occasion pour nous de découvrir les premières critiques du film (positives ou mitigées) : (Attention Spoiler !!)




Cela ne ressemble en rien à ce que vous avez pu voir avant, le premier film en tant que réalisateur de l'acteur-rédacteur-scénariste américain Brady Corbet est un psychodrame historique, ou peut-être un drame historique sur la psychanalyse, qui étudie la montée du fascisme chez un jeune garçon obstiné, capricieux et qui lutte avec le pouvoir. La toile de fond du film est la conférence de paix à Paris en 1919 qui a mené au traité de Versailles, The Childhood of a Leader est aussi sombre et convaincant que la remarquable bande originale du film du musicien Scott Walker. 

[...] The Childhood of a Leader ne dérive pas de son chemin. Dominée par la crainte, virant dans le film d'horreur d'art et d'essai à certains moments, cette histoire sombre ne fait pas de prisonniers. Peut-être que les 4 brèves apparitions de Robert Pattinson dans le film duperont quelques adolescentes qui achèteront un ticket, si c'est le cas, elles feraient mieux de se préparer à une expérience cinématographique intelligente, adulte et allusive. 

[...] Une séquence finale saisissante, impressionnante qui se passe quelque part dans le futur, ne répond pas forcément aux questions et en pose de nouvelles.[...] Corbet assure la direction d'un excellent casting, cela en fait un mixe entre une poésie avant-gardiste et la puissance dramatique d'un bon cauchemar. 

The Hollywood Reporter :

Tentant de décrire la montée du fascisme en Europe entre les deux guerres en utilisant comme parabole un jeune garçon capricieux, le sombre et onirique The Childhood of a Leader peut seulement être appelé d'extraordinairement trop ambitieux. Ce premier film du réalisateur américain de 27 ans, Brady Corbet, combine un bon casting européen, une direction artistique grandiose et une retentissante bande originale de Scott Walker, mais le résultat est un méli-mélo embarrassant qui est difficile à suivre. On ne peut que se demander quel avenir l'attend après sa sélection dans la section Horizon à Venise et une brève apparition de Robert Pattinson est peu susceptible de changer sa fortune. 
[...]

The Film Stage :

Le premier film du jeune acteur Brady Corbet, qui est devenu scénariste/réalisateur, The Childhood of a Leader est un choix ambitieux pour un premier projet - une pièce d'époque qui associe le climat politique post première guerre mondiale et l'éducation d'un enfant dans un château à l'extérieur de Paris. Le film, qui fait ses débuts dans la section Horizon du festival du film de Venise, est un tour d’équilibriste psychologique qui pourrait s'effondrer à chaque tour, mais qui ne le fait jamais. 
[...]
Ce qui pourrait très facilement être perçu comme un premier film irritant, prétentieux est en fait une manifestation de la folie contrôlée pleine de touches astucieuses, comme l'utilisation du personnage de Robert Pattinson dans les quelques scènes où il apparaît. Espérons juste que ces fans dévoués qu'il conduit vers un territoire inexploré depuis quelques années iront jusqu'au bout de celui-ci.

Robert Pattinson en couverture du prochain numéro du magazine "Les Inrockuptibles"

Et une couverture de plus pour Robert, cette fois-ci c'est celle du magazine les "Inrockuptibles" ! En kiosque dès demain !

Extrait de l'interview disponible sur leur site internet :

Entretien avec Robert Pattinson : de “Twilight” à “Life”, les mutations d’un acteur

La fin de “Twilight”, son désir d’indépendance, ses velléités de réalisation et ses envies de cinéma français : Robert Pattinson dresse un premier bilan de sa carrière.

Mai 2012 : Robert Pattinson monte pour la première fois les marches du Festival de Cannes, où il vient accompagner la présentation en compétition officielle de Cosmopolis de David Cronenberg. Une étape décisive dans le parcours de la star, qui se dirigeait ici vers un cinéma d’auteur prestigieux et soldait son image d’icône adolescente, marquée du sceau de la franchise mal aimée Twilight.

Trois ans plus tard, la reconversion de l’acteur semble presque achevée : l’hystérie médiatique qui l’entourait s’est enfin atténuée, il est passé du rang de poster boy à celui de coqueluche hipster, tandis qu’il poursuivait une filmographie radicale et ultra-aiguisée.

Chez David Cronenberg (Maps to the Stars), dans le polar australien (The Rover de David Michôd), ou même dans un Werner Herzog mineur (Queen of the Desert), il a définitivement quitté les rives des productions mainstream et s’est affirmé en acteur XXL, nouvelle incarnation du cinéma d’auteur à la puissance de feu sans égale dans sa génération.

Au moment où sort son dernier film, Life d’Anton Corbijn, une charmante quoique anecdotique relecture de l’amitié entre le photographe Dennis Stock et James Dean, Robert Pattinson nous a accordé un entretien pour faire le bilan de sa carrière et évoquer son futur.

S’y dessine le portrait d’un acteur toujours en mutation, à la fois très sûr de ses choix et rongé par le doute, un électron libre qui entend bien se projeter partout où le cinéma palpite encore, de la France, aux côtés de Claire Denis, au New York vibrionnant des frères Safdie. Un type du futur.

Comment vous êtes-vous retrouvé sur le projet Life ?
Robert Pattinson – En lisant le scénario, j’avais le sentiment que le film ne serait pas un biopic ordinaire, une simple life story où l’on raconterait par le menu la vie de James Dean et Dennis Stock. Il y avait quelque chose de plus singulier, plus intimiste dans l’angle du film.



Source

Update : 

Ajout des scans du numéro sorti ce jour
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Via

Nouvelles photos de Robert à Belfast -08.09.2015-

Avec Florence Welch de Florence and The Machine


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