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dimanche 27 février 2022

Vidéo : Nouvelle interview de Robert Pattinson et Zoë Kravitz avec Konbini

 


Traduction : Nouvelle interview de Robert Pattinson avec Perfil (+nouvelle photo promo avec Zoë Kravitz & Paul Dano)

 


Traduction des parties de Robert :

Dans les comics Batman et Catwoman ont toujours eu un lien particulier, notamment ces dernières années où ils se sont même mariés. Comment définiriez-vous leur lien dans ce nouveau film en tenant compte de toutes les itérations de ce duo mythique ?

[...]

Robert Pattinson : Ce sont des gens qui croient tirer du pouvoir de leur douleur, ils essaient de récupérer quelque chose qu'ils ne veulent pas récupérer. Ce sont des personnages forts, certes, mais en même temps fragiles, littéralement au bord de la corniche. Et encore plus au moment où se situe le film, dans leurs débuts. C'est un début maladroit entre les deux personnages, surtout quand l'un deux à tout le temps un masque sur le visage. 

Considérant l'histoire des personnages, encore une fois, que ce passe-t-il quand un tel rôle apparaît dans la vie de quelqu'un ? Que se passe-t-il quand quelque chose d'aussi grand devient votre travail et sera votre quotidien pendant un certain temps ?

Pattinson : Je suis fan de Batman, tout le monde le sait, tout le monde l'a dit. J'ai vu tous les films au cinéma. Je les ai lu. Depuis tout petit, Batman a toujours été dans ma vie. Comment ne pourrais-je pas l'être ? Dès que j'ai su qu'il y avait une chance infime que je puisse faire partie de cette nouvelle version, j'ai voulu ce rôle. Et je l'aimais tellement que je n'ai pas pensé au stress que cela pourrait générer : J'avais un niveau d'obsession si grand, que je ne voyais pas tout ce qui pourrait arriver plus tard. Et il y avait un tas de choses. Ce qui est étrange, c'est que je n'ai jamais été particulièrement nerveux : C'était toujours un peu une fête, il fallait toujours travaillé plus dur, mais c'était un beau travail. Je n'étais pas nerveux, pas comme j'aurai pu m'y attendre. Maintenant, avant la première, je deviens nerveux. C'est un gros pari. C'est une interprétation très différente et il y en a beaucoup. C'est un Batman différent. Cela va surprendre. Je pense que c'est une lecture très intelligente du personnage et qui plaira aux fans, à tout le monde. Pour moi, l'essence de la bande dessinée n'a jamais été saisie comme ici, ici, on met en scène son aspect le plus conflictuel, celui qui a le plus défini ses célèbres chefs-d'œuvre sur papier. 

[...]

Robert, vous n'avez jamais caché votre fanatisme, votre connaissance du personnage dans divers médias, pensez-vous avoir découvert quelque chose sur ce personnage en le devenant ? Y'a t-il quelque chose que vous ne soupçonniez pas dans Batman et que vous ne pouvez plus ignorer ?

Cela m'est arrivé presque aussitôt. Pour un personnage que tout le monde connaît, qui est si familier dans la culture populaire, qui la définit, qu'on pourrait même appeler une icône, il y a plusieurs niveaux que l'on accepte immédiatement. Et tout d'un coup, vous devez le réécrire et non; par exemple, au début du processus avec Matt Reeves, il y avait des choses où nous nous disions immédiatement "ce n'est pas Batman" et cela n'avait rien à voir avec notre idée de Batman, l'idée populaire. Je veux dire, la vision de Matt est celle de Matt, mais Batman s'impose, seul, par son poids, par son mythe. Mais cela dit, dès que j'ai mis le costume pour la première fois, j'ai soudainement senti un vide que je ne pensais pas ressentir. 

Vous devez satisfaire le mythe ?

Exactement. Il vous arrive de devoir combler le costume avec des idées, un monde, au-delà justement de notre monde et de ses conceptions de Batman. Sinon, vous n'êtes qu'un idiot dans un costume hors de prix. Personne ne croira en vous. Quand vous commencez à fragmenter ses caractéristiques personnelles, celles qui me donnent des outils en tant qu'acteur et non en tant que couverture de bande dessinée, beaucoup de choses, beaucoup de questions apparaissent. Pourquoi veut-il exorciser ses démons en étant ce personnage en qui il croit plus que n'importe quoi, mais qui selon lui, n'est pas lui ? J'ai mis du temps à comprendre ce mécanisme. Comprendre ce point est fondamental. Et je pense qu'on s'en aperçoit que lorsqu'on enfile le costume pour l'interpréter. Je suis sûr que c'est arrivé à tous les acteurs qui l'ont joué. C'est là que vous vous rendez compte de la bataille difficile qui vous attend. 

Pour lire les passages de Zoë Kravitz & Paul Dano, rendez-vous à la Source

Traduction de l'interview de Robert Pattinson avec SFX

 Certaines réponses sont similaires avec d'autres interviews déjà traduites, mais dans l'ensemble c'est une lecture intéressante !



Traduction : 

Avez-vous fait quelque chose de spécifique pour rendre ce Batman différent ?

C'est difficile. Il y a eu, je crois, dix ou plus films de Batman et ce n'est pas comme s'il y en avait eu dix mauvais. Il y a eu 10 très bonnes interprétations [rires]. J'étais conscient, ou j'étais peut-être simplement nerveux de le faire, je me suis dit, 'Oh, je ne peux pas prendre la même route.' Parce qu'ils sont si spécifiques, toutes des interprétations différentes. Et puis, c'est assez amusant d'essayer et de trouver une ouverture qui n'a pas été faite. Mais dans le scénario...c'est un ton très différent des autres films, donc c'est venu naturellement. 

Etes-vous personnellement un fan de Batman ?

Oui, je le suis. J'ai vu tous les films Batman au cinéma. Ce n'est pas quelque chose d'original à dire, mais comme tous les petits garçons - et je suis sûre comme beaucoup de petites filles également - ils sont assez obsédés par Batman et pensent qu'ils sont Batman. C'est vraiment la seule série qui dure depuis longtemps où chaque films, qu'importe quand ils sortent, je crois que je les ai tous vu lors du week-end d'ouverture. Il y a un héritage plutôt glorieux de personnes qui ont joué le rôle et de réalisateurs qui ont travaillé dessus, et chacun semblent irréfutables. Je les aime tous, même quand ils veulent être plus léger et plus comique. J'ai également adoré ceux-là. Je les ai trouvé très drôle. C'est simplement l'un de ses rôles où vous pensez qu'il n'est jamais vraiment à votre portée. Je veux dire, c'est assez dingue. Quand j'ai regardé le film l'autre jour, je n'arrivais toujours pas à vraiment réaliser que je l'ai fait. C'est assez incroyable. 

Interview vidéo : Quel Emoji Robert Pattinson & Zoë Kravitz se feraient-ils tatouer ?

Ce sont des vidéos de Warner Bros France qui sont diffusées en publicité sur Instagram, espérons que l'intégralité de l'interview soit prochainement publiée !


Merci @pattinsonphotos pour les vidéos !

Nouvelle photo de Robert Pattinson, Paul Dano, Jeffrey Wright et Zoë Kravitz pour la promo de The Batman

 


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Traduction : Nouvelle interview de Robert Pattinson avec The Sydney Morning Herald

 Dans cette interview, il revient notamment sur le fait que pour une fois, il n'était pas nerveux à l'idée d'accepter un rôle, sur les retours qu'il a eu après avoir dit en interview (pour plaisanter) qu'il ne s'entraînait pas !


Traduction des parties concernant Robert :

[...]

"Batman est le seul personnage de bande dessinée avec lequel je me suis vraiment senti lié," dit Pattinson. "Il y a quelque chose de central là-dedans, parce qu'il a choisi d'être Batman. C'est juste un gars qui choisi d'être Batman et je le comprends. Il se dit, 'Tu est un monstre', et si je peux partir de cela, alors tu peux construire quelque chose autour."

[...]

"S'il n'était qu'un personnage héroïque, je n'aurais pas su comment le faire," poursuit Pattinson. "Tout le monde pense que Batman est, en gros, à mi chemin entre un mec bizarre et une nuisance. Et les gens de Gotham, qu'il protège, ne savent pas non plus comment l'interpréter. Ils pensent que c'est aussi un criminel."

"Parce que si vous êtes dans une ruelle, que des gens essayent de vous agresser et qu'un vrai psychopathe, qui est habillé comme le diable, s'approche de vous, vous vous dites, 'Euh, s'il vous plaît, ne m'approchez pas.' C'est plus terrifiant que d'être agressé, tu ne t'en remettras jamais. Vous devez faire une thérapie par la suite."

A cela, Reeves commence à rire. "Oh, allez," dit-il. 

Pattinson continue : "Le film met l'accent sur cela. Parce que normalement, quand Batman vient à votre secours, la réaction de la personne est plutôt, "Oh, merci Batman.' Mais je ne pense pas que ce serait votre réaction cette fois-ci."

[...]

"Batman est clairement gothique," reconnaît Pattinson. "Regardez les romans graphiques. Je trouve que dans les interprétations précédentes au cinéma, les gens avaient peur d'accepter cela, donc il finit par être beaucoup plus net. Mais dans une grande partie des romans graphiques, c'est une âme très torturée."

Quand Reeves écrivait The Batman, il a regardé le film de Pattinson, Good Time, dans lequel il joue un escroc en fuite. Il a sut qu'il avait trouvé son homme. "Je me suis dit, Ok, donc nous avons besoin de quelqu'un chez qui vous pouvez sentir, même derrière le masque, qu'il y a ce niveau d'agitation émotionnelle et de désespoir. Et [dans Good Time] Rob avait un désespoir si palpable, et même si c'est un gars avec des défauts, vous pouvez totalement avoir de la sympathie pour lui et sentir qu'il est en chute libre."

"Rob a une qualité très spéciale. Et c'était entre autre pour cela que je voulais que ce soit Rob, avant même d'avoir fini le scénario. Et Rob ne le savait pas."

De son côté, Pattinson n'était pas intimidé de jouer un rôle que tant de gens ont joué par le passé. Pour une fois dans sa carrière, il se sentait prêt. "Je ne sais jamais vraiment ce que je veux. Et puis, tout à coup, quand le rôle est apparu, ça semblait vraiment adéquat," dit-il. "Et pour ce rôle, je n'ai jamais vraiment été nerveux. J'avais rencontré Matt et je savais qu'il était très réactif et qu'il avait aussi envie d'en discuter. Et le scénario était très très juteux et semblait vraiment différent."

"Et je ne pensais même pas vraiment que je jouais Batman la plupart du temps. Même si vous êtes dans le costume, de temps en temps vous vous voyez et vous dites : 'Oh merde, c'est à cela que je ressemble.' Ce n'est que maintenant que j'ai l'impression que cela va être comparé aux autres films Batman. Je ne suis même pas inquiet, je trouve que ça fonctionne."

[...]

Pattinson a-t-il déjà ressenti de la pression par rapport à son apparence ?

"J'ai fait cette interview qui est vraiment revenue me hanter," dit Pattinson. "Littéralement, tout ce que j'ai dit c'est que je trouve que c'est vraiment idiot de parler de la façon dont vous vous entraînez. J'ai fait une petite blague à ce sujet. Et puis, littéralement, j'ai vu [cela a été interprété comme ainsi], 'Ouais mec, je ne m'entraîne pas du tout' et la quantité de haine que j'ai reçue par la suite, c'était genre, 'Tu ne prends pas le rôle au sérieux !'"

Il gémit. "C'est juste un sujet nul sur lequel parler. Mais aussi, c'est plus embarrassant si vous faites une scène très chorégraphiée, où vous battez 10 mecs et puis quand vous enlevez votre chemise, il n'y a aucune chance que cela se soit produit [parce que vous n'avez pas de muscles]. Cela fait partie de la nature du personnage."

"Cela a été difficile, cependant. Vous vous entraînez avant et après le travail tous les jours .Et normalement, quand vous faites de longues, longues journées sur le tournage, vous vous dites : "Oh, je vais prendre une petite barre de chocolat.' Ce n'est pas envisageable. Surtout pour certaines scènes, vous vous affamez. Mais, vous savez, vous jouez Batman. Vous savez quel est le marché."

Source / Via

Interview : Robert Pattinson admet avoir piqué de nombreuses paires de chaussettes sur le tournage de The Batman !

 Après la veste, dans cette interview avec Radiotimes, Robert a admis avoir intentionnellement pris pas mal de paires de chaussettes durant le tournage de The Batman !


Traduction de l'article :

Lors d'une conférence de presse virtuelle pour promouvoir le nouveau film, on a demandé aux acteurs s'ils avaient pris quelque chose sur le tournage, ce qui a incité l'actrice de Selina Kyle, Zoë Kravitz à révéler : "Rob a pris des chaussettes !"

"Non, j'en ai beaucoup," a admis Pattinson. "Ils m'ont dit d'arrêter de les voler."

Kravitz comprenait la situation - expliquant que "c'est facile de partir avec des chaussettes" avant de lui demander, "ou était-ce intentionnel ?"

Et Pattinson a confirmé, "Non, c'était intentionnel. Au bout d'un moment, c'était le 156ème jour de tournage et ils se sont dit : 'Comment...tu as 156 paires de chaussettes. Que diable fais-tu avec ?' Tu ne veux pas savoir !"


Nouvelle interview de Robert Pattinson avec Verissimo

Bon c'est surtout pour le plaisir des yeux, car l'interview est doublée en italien, difficile de comprendre ce qu'il dit en anglais !



Merci @SlaveforRob pour les vidéos !