Toronto - Pour Robert Pattinson, travailler avec un réalisateur comme David Cronenberg est une manière catégorique de quitter le monde de Twilight et des vampires troublant et sexy.
Mais là encore, le rôle de l'acteur anglais dans Maps To The Stars représente une certaine redondance. Il est à nouveau à l'intérieur d'une limousine, où il a passé la quasi-totalité du temps dans Cosmopolis de Cronenberg dans le rôle d'un milliardaire financier lors d'un lent chemin vers la ruine. Cette fois-ci, Pattinson est sur le siège conducteur dans le rôle d'un aspirant acteur/scénariste d'Hollywood, qui a un moment envisage de rejoindre l’Église de la Scientologie "comme un choix de carrière."
Free Press a parlé avec Pattinson de ce deuxième round avec Cronenberg :
FP : Donc, encore du sexe dans une limousine ?
RP : Ouais, c'est bizarre. Apparemment, Cosmopolis était seulement une audition pour celui-ci. Je pense que c'est ce que je vais utiliser comme photo de portrait : moi me penchant à la fenêtre de la limousine.
David Cronenberg aime travailler avec certains acteur, comme Viggo Mortensen et Jeremy Irons, plus d'une fois. Devez-vous avoir un certain rapport pour être membre de ce club ?
RP : Je pense que c'était juste de la chance au début. Je m'entends vraiment bien avec lui. C'est une personne vraiment agréable et il est drôle. J'ai considéré le fait qu'il aime travailler avec le même casting pendant des années, c'est en quelque sorte mon chèque d'allocation.
FP : Cela doit être gratifiant qu'il vous voit jouer des rôles aussi différents, comme un milliardaire solitaire, un peu déséquilibré dans Cosmopolis et comme un aspirant affamé à Hollywood dans Maps to the stars.
RP : Des personnages vraiment différents, oui, mais tous les deux dans une limousine et tous les deux en costumes noirs. Ça doit être la ligne conductrice. Je pense que pour le prochain, je vais me faire écrasé par une limousine.
FP : Vous vivez à Los Angeles, donc est-ce que vous reconnaissez la réalité de ce film ?
RP : Sans aucun doute. Certains des personnages semblent être des archétypes, mais j'en ai beaucoup rencontré. Je me rappelle certaines scènes, telles que les scènes avec tous les jeunes acteurs quand ils se plaignent les uns des autres. Cela m'a vraiment rappelé quand je suis venu pour la première fois à L.A, avant les téléphones avec appareils photos, quand vous alliez dans les boîtes de nuit et qu'il y avait des personnes de 15 ans vraiment célèbres et que vous pouviez les voir ouvertement boire, c'était si bizarre. Il y avait un ensemble de règles différentes. Mais maintenant ce n'est plus pareil, car les enfants dans les bars sont immédiatement découvert. Mais je me souviens, venant d'Angleterre et voir cela, car je n'avais toujours pas le droit d'entrer dans les clubs en Angleterre quand j'avais 20 ans et là, il y avait des enfants entrain de boire !
FP : Êtes-vous plus à l'aise de faire parti d'un ensemble plutôt que de porter le film comme c'était le cas dans cosmospolis ?
RP : Dans quelque chose comme ça, il y a évidemment beaucoup moins de pression, donc j'aime beaucoup. Quand vous n'avez pas à conduire le film, ce n'est pas une décision difficile à prendre.
Traduction Sabine@therpattzrobertpattinson.blogspot.com
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