Bonjour Robert ! Bienvenue à Sydney. Dites nous, qu'est qui a attiré votre intérêt dans le film ?
Je me suis dit que le scénario était tellement rare et direct. Il avait même l'air différent sur le papier, comme si la mise en forme était différente. Il n'y avait pas de virgules ! J'ai pensé que c'était original et mon agent m'a dit que c'était une offre, et je me suis dit "Vraiment ? On ne me propose jamais des trucs comme ça !" Et puis il m'a dit... "Oh non, je t'ai envoyé le mauvais e-mail, tout le monde auditionne pour ça."[Rires].
Comment décririez-vous votre personnage, Rey ?
Il est très...dépendant. Tout le monde lui a dit qu'il y avait quelque chose qui clochait chez lui, qu'il était un peu déficient, alors que ce n'est pas vraiment établi s'il l'est ou pas.
Quels ont été les défis pour donner vie à Rey ?
Principalement le costume ! Ça semble ridicule, mais c'était la partie la plus importante. Aussitôt que j'ai eu le bon jean - nous en avons essayé, genre, 1 million ! - Et une fois que nous avons trouvé le bon jean pour lui et les baskets qui étaient un peu trop grandes [tout s'est enchaîné].
On peut définitivement se lier à ce sentiment ! A quel point la mode et les costumes importent dans un film ? Est-ce quelque chose à laquelle vous faites attention ?
C'est énorme pour moi ! C'est bizarre, mais j'avais une apparence spécifique dans The rover - jusqu'à la couleur du tee-shirt. Nous avons fait quelques essais et [quand vous avez trouvé le bon vêtement], soudainement vous marchez différemment.
Quelle a été la scène la plus difficile à tourner ? Il y a tellement de graphisme, de moments de confrontation.
Ma scène la plus dure - et c'est sans doute un peu un cadeau - mais je devais avoir un tuyau le long de ma jambe, avec trois gars contrôlant ma pompe, et c'était probablement ma plus grosse scène dans le film. Je ne savais pas à quel point ce serait compliqué à mettre en place.
Selon vous, qu'est ce qui rend les films australien unique ?
Depuis quelques années, c'est tout à coup devenu un genre unique. Je ne sais pas ce que c'est ! Il y a quelque chose sur le fait d'être si isolé - je pense que ça semble très étranger. Je pense qu'il y a une confiance dans le cinéma qui n'existe pas ailleurs. En Australie, il y a un genre de vitalité. Une vitalité sombre.
Source Via
Traduction : Sabine@therpattzrobertpattinson.blogspot.fr
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