Traduction :
Jimmy : C'est bon de vous revoir ! Je viens de discuter avec un gars dans le public qui est enseignant suppléant à Las Vegas, est-ce qu'il y a des enseignants suppléants en Angleterre, savez-vous ce que c'est ? Ils viennent pour une journée quand l'enseignant prétend être malade.
Robert : Oui, en fait j'ai persécuté l'un d'entre eux, jusqu'à ce qu'il parte en l'enfermant dans un placard !
Jimmy : Dans un placard ? Vraiment ?
Robert : Jusqu'à ce qu'elle pleure et c'était durant son premier jour.
Jimmy : En quelle classe étiez-vous ?
Robert : Terminale. Beaucoup de personnes l'ont enfermé dans le placard le même jour.
Jimmy : Vous voulez dire que beaucoup de personnes l'ont bloqué dans un placard à une reprise ou chacun un jour différent ?
Robert : Non tous ensemble.
Jimmy : Vous l'avez poussé dans le placard.
Robert : Et on a fermé.
Jimmy : Qui a poussé à faire cela, c'est horrible.
Robert : Je ne me rappelle plus.
Jimmy : Et tout le monde a quitté la classe et la laissé seule dans le placard alors que la classe était vide.
Robert : Elle disait : Restez tranquille !
Jimmy : On imagine que les enfants anglais sont ... quand on voit les enfants du prince on pense qu'ils sont tous comme cela, ils portent des culottes avec ses chaussettes montantes et se comportent bien. La vérité est bien différente en faite.
Robert : Les gens disent "Culotte" aux États-Unis ?
Jimmy : Non, on ne le fait pas, mais je me suis dis que vous oui.
Robert : J'aime bien ce mot.
Jimmy : La dernière fois que vous êtes venus ici remonte à quelques années, vous m'aviez raconté que vous viviez sous une voûte à Venice et une autre fois que votre seule possession chez vous était un matelas gonflable. Êtes-vous toujours sans abri, où en êtes-vous ?
Robert : Non je suis super bourgeois maintenant, mes rideaux ont des ourlets !
Jimmy : Vous avez l'air plus à l'aise durant les interviews avec les années. Est-ce le cas ou non ?
Robert : Je ne sais pas.. j'ai toujours été à l'aise dans cette émission.
Jimmy : J'ai été très surpris de vous entendre il y a quelques semaines dans l'émission d'Howard Stern, que j'écoute tous les jours. C'est une interview très profonde, il va loin avec les gens. Je pensais que ce serait le gars à qui vous éviteriez de parler.
Robert : C'était terrifiant, vraiment terrifiant, j'étais très anxieux avant. La dernière fois que j'ai rencontré Howard c'était il y a des années et il y avait toute son équipe et il me demandait "a quel point votre b**** est grosse ?" Mais en fait, c'est un mec vraiment sympa.
Jimmy : J'ai trouvé que vous avez eu une très bonne conversation. Avez-vous dit quelque chose de difficile ? Car Howard arrive toujours à faire révéler aux gens des choses et parfois après l'émission ils se demandent pourquoi ils ont dit cela ! Avez-vous dit quelque chose que vous auriez préféré ne pas dire ?
Robert : Je ne pense pas, je ne me rappelle pas ce que j'ai pu dire, j'oublie aussitôt après.
Jimmy : Vous n'avez pas réécouté l'émission après ?
Robert : Non.
Jimmy : J'ai adoré votre film, c'est vraiment vraiment bon ! Il s'appelle Good Time et vous faites un accent New-Yorkais et je suis très critique car je suis né à Brooklyn, mais vous l'avez vraiment bien fait.
Robert : Merci.
Jimmy : J'ai vraiment envie de parler de ce film car j'ai découvert que les réalisateurs de ce film sont frères et ils n'ont jamais rien fait avant cela non ?
Robert : Ils ont fait quelques trucs !
Jimmy : On va dire qu'ils n'ont rien fait ! Ça donne l'impression que vous les avez découvert !
Robert : Ils ont fait quelques films vraiment géniaux et de très bons documentaires à propos de Lenny Cooke, le joueur de Basket. Ils n'étaient pas entièrement connus, mes agents ne les connaissaient pas.
Jimmy : Vous les connaissiez ?
Robert : Non, j'ai vu une photo sur Indiewire.
Jimmy : Et juste en vous basant sur cette photo ils vous intéressaient ? Que représentait cette photo ?
Robert : Oui, c'était juste une photo de leur précédent film et je suis tombé amoureux de cette photo. Ce film n'était pas un film, il n'y avait rien, ils étaient entrain de faire autre chose et puis on s'est rencontré et ils ont été submergés par mon enthousiasme !
Jimmy : Et ils ont dit "Ok, on va faire quelque chose pour toi !" C'est comme Tinder, vous voyez une photo, vous dites j'aime ça et juste après vous faites un film ensemble !
Robert : C'est pratiquement ce qu'il s'est passé !
Jimmy : Voici une photo qu'a pris un des réalisateurs, vos cheveux sont teints dans cette photo, mais c'est vous dans ce qui apparaît être une cage à chien !
Robert : C'était celle de Mufasa, l'énorme chien qui est dans le film, il était énervé que je sois dans son lit ! Je viens de me rappeler d'une histoire que je ne vous ai pas raconté ! Je ne sais pas si je dois la dire...
Jimmy : Dites le !
Robert : Il y avait beaucoup de choses à la limite de la légalité dans ce film, loin de la limite même !
Jimmy : Faisons une pause publicitaire, comme Ryan Secrest avait l'habitude de faire et nous écouterons cette horrible chose illégale qu'ils ont fait avec le chien pour ce film, Good Time.
Traduction :
Jimmy : Le gars qui joue le patient dans cette situation est un des réalisateurs du film ! Il a fait du super boulot en tant qu'acteur dans ce film.
Robert : Il est génial.
Jimmy : Est-ce que c'est un acteur ?
Robert : Il a joué dans quelques petits trucs. Il est incroyable ! Il co-réalisait, tenait le micro et éditait et il a eu un bébé une semaine avant le début du tournage ! C'était incroyable !
Jimmy : Vous avez eu une standing-ovation de 6 minutes au Festival du film de Cannes, était-ce embarassant ?
Robert : C'est étrange car la lumière est dirigée sur vous et après un moment vous entendez seulement les applaudissements, mais vous ne voyez que les gens qui sont dans le film applaudir. Donc on se demande "Est-ce qu'on est les seuls à applaudir ? On devrait peut-être continuer cette ovation juste pour nous-mêmes ?" C'est peut-être ce qu'il s'est passé ! Mais oui c'est génial !
Jimmy : Six minutes c'est beaucoup ! A partir de 3 minutes c'est à ce moment là que vous vous dites, "ok, les gens devraient s'asseoir maintenant !"
Robert : Et vous pouvez être hué durant tout ce temps également et vous devez rester assis et le supporter.
Jimmy : Est-ce qu'ils font vraiment cela ? Avez-vous déjà été dans une situation où ils huaient ?
Robert : Pas personnellement, mais j'en ai entendu parlé, je connais des gens à qui s'est arrivé.
Jimmy : Woaw, ils huent les réalisateurs après la projection, ils le font juste parce que le film craint ou juste parce qu'ils n'ont pas aimé quelque chose dans le film ?
Robert : C'est tout l'intérêt d'aller à Cannes, vous pouvez soit être ovationné soit être hué ! C'est ce qui rend Cannes si excitant !
Jimmy : Ca ressemble à du catch ! Maintenant, racontez nous ce qu'il s'est passé avec le chien !
Robert : C'est un gros chien et au départ ça devait être un autre chien, son fils, mais il est mort juste avant.
Jimmy : oh, il n'aura donc jamais eu la chance de se voir lui-même, de pisser sur un tapis rouge.
Robert : Donc Mufasa, qui est un énorme chien... je ne sais pas si je devrais le dire. Mon personnage, Connie, s'entend bien avec les chiens, car il pense avoir été un chien dans une précédente vie et il pense pouvoir contrôler les chiens. Et il y a cette scène que nous avons tourné, où le dealer de drogue rentre dans la pièce et je dormais avec le chien et en gros je le masturbais.
Jimmy : C'est ce que vous, l'acteur Robert Pattinson, étiez en train de faire, ou était-ce le personnage ?
Robert : Le personnage, mais j'ai questionné l'éducateur canin... Les réalisateurs disaient "fait le pour de vrai mec, ne soit pas peureux !" et le propriétaire du chien, qui est éleveur, était d'accord ! Il disait que l'on pouvait simplement masser l'intérieur de ses cuisses. Mais j'ai refusé de le faire pour de vrai, alors nous avons fait un faux..
Jimmy : Vous avez fabriqué un faux pénis de chien ? Hollywood est un endroit génial, si vous en avez la chance envoyez vos enfants dans une école de cinéma.
Robert : C'était drôle, ce sera dans le dvd.
Version Youtube de certains extraits :
Traduction : Sabine@therpattzrobertpattinson.blogspot.fr
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