Comme toujours les interviews de GQ valent le détour, alors en voici la traduction :
Traduction :
Il est exceptionnellement beau. De grands yeux. De grands traits comme une sculpture italienne du 16ème siècle. Il est, contrairement à certains acteurs, plus grand que les gens ne le supposent. ("Beaucoup de fans disent : il est petit, il est petit ! Je ne suis pas petit putain !" dit-il. "Je suis corpulent. La plupart du temps, j'essaie d'être plus mince." Il a cette capacité à paraître différent de façon convaincante, à des degrés significatifs, dans de nombreux rôles différents. Ce n'est pas que les cheveux et le poids. C'est la façon dont il peut baisser ou augmenter un interrupteur interne pour bouger les yeux et la bouche et incarner un large éventail allant de l'américain crasseux à l'aristocrate français. Cela lui permet de travailler efficacement que ce soit en tant que rôle principal ou en volant la vedette dans une scène de 12 minutes. "C'est un caméléon," déclare Matt Reeves, le réalisateur de The Batman. "Récemment, Rob me disait qu'il n'avait jamais jouer de personnage avec sa vraie voix. La voix est l'une de ses façons de faire."
A Londres aujourd'hui, son accent naturel est net et ses paroles sont prudentes. Mais son rire est en roue libre et il ne peut s'empêcher de commencer par dire précisément ce qu'il ressent : "Je suis complétement déphasé !" Il n'est pas assez habillé :"Il fait froid ! Merde !" Et il ressent son âge (35 ans) :"Je ne peux rien faire !" On dirait un marchand d'art anglais après une foire d'une semaine à Hong Kong. Il devait être plus brillant il y a six jours.