jeudi 31 octobre 2019
Nouvel extrait de Robert Pattinson dans le rôle d'Ephraim Winslow dans The Lighthouse
Watch how Robert Pattison and Willem Dafoe brought #TheLighthouse script to life in this exclusive clip. pic.twitter.com/8tOgIFypKD— Screenplayed (@Screenplayed) October 31, 2019
Que pense Robert Eggers du choix de Robert Pattinson pour le rôle de Batman ?
Dans une interview audio avec Reel Blend, Robert Eggers explique en quoi le fait que Robert soit le prochain Batman est une bonne chose pour le cinéma indépendant :
(la partie concernant Batman commence à 19min45)
Traduction :
"Je pense que c'est génial. Je pense qu'il fera du bon travail. Il me fait à nouveau acheter un ticket pour un film basé sur un comic book, donc tant mieux pour lui. Peut-être qu'il m'invitera à une projection [Rires]. L'espoir c'est que Rob, après Batman, voudra toujours faire un travail intéressant. Et si Batman fonctionne comme il l'espère, à quel point ce serait cool ? D'avoir une star de cinéma qui compte vraiment au box-office et qui est un putain d'acteur incroyable. Cela pourrait être très bon pour tous les Eggers et les Safdie du monde. Tu portes cette cape, Rob. "
Nouvelle interview de Robert Pattinson avec Manila Bulletin
Une partie de l'interview est similaire à certaines que j'ai déjà traduite, mais il y a quelques nouvelles citations !
Traduction des parties inédites :
Los Angeles - Robert Pattinson était d'humeur joviale lorsqu'il nous a rencontré.
L'acteur anglais de 33 ans, qui a tout d'abord retenu notre attention dans le rôle de Cedric Diggory dans "Harry Potter et la Coupe de Feu", quand il n'avait que 18 ans, a ensuite vu son étoile devenir plus lumineuse avec son interprétation d'Edward Cullen dans la franchise "Twilight" à l'âge de 22 ans, il a en effet déployé davantage ses ailes en tant qu'acteur avec ses choix de rôles variés.
L'un de ses rôles est sa solide performance en tant que bûcheron à la retraite, Ephraim Winslow, dans le film d'horreur psychologique "The Lighthouse" de Robert Eggers, qui a été tourné en noir et blanc dans le comté de Yarmouth en Nouvelle-Écosse au Canada. Le film, qui a fait sa première mondiale à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes, met également en vedette Willem Dafoe dans le rôle du vieux Thomas Wake.
L'histoire raconte la vie de ces deux hommes vivant dans un phare isolé, alors qu'ils doivent lentement faire face à la solitude, qu'ils perdent la raison et doivent gérer leurs cauchemars.
C'était bien loin des rôles que nous avions l'habitude de voir Pattinson jouer. Nous l'avons donc interrogé sur les défis qu'ont représenté la réalisation du film et sur sa collaboration avec le cinéaste Eggers.
"Lorsqu'un scénario est vraiment bon, cela rend les choses un peu plus facile," explique Pattinson. "Mais le seul problème avec le fait d'avoir un très bon scénario, c'est que vous devez être capable de le faire, cela ne tient qu'à vous de le gâcher. Je pouvais voir qu'il était possible d'en tirer quelque chose de bien, mais c'est également une course immersive, un saut aveugle dans l'abîme. Je ne sais pas si vous connaissez les accents du Maine, mais l'accent du Maine est l'une des choses les plus difficiles que j'ai essayé de comprendre. C'était donc une chose sur laquelle j'ai passé beaucoup de temps à travailler. "
"Je pense qu'il y a quelque chose à propos de l'obscurité du film, et je ne peux pas vous décrire comment y entrer, comment vous poussez dans ce monde. C'est assez cathartique à la fois, mais vous êtes dans un endroit assez étrange tout le temps. Mais oui, je pense que de faire quelque chose de très sombre avec quelqu'un comme Willem, cela change l'atmosphère, car il y a quelque chose d'anarchique. C'est un gentil démon avec qui le faire. Et c'est assez amusant de devenir mauvais avec lui."
[...]
L'acteur anglais de 33 ans, qui a tout d'abord retenu notre attention dans le rôle de Cedric Diggory dans "Harry Potter et la Coupe de Feu", quand il n'avait que 18 ans, a ensuite vu son étoile devenir plus lumineuse avec son interprétation d'Edward Cullen dans la franchise "Twilight" à l'âge de 22 ans, il a en effet déployé davantage ses ailes en tant qu'acteur avec ses choix de rôles variés.
L'un de ses rôles est sa solide performance en tant que bûcheron à la retraite, Ephraim Winslow, dans le film d'horreur psychologique "The Lighthouse" de Robert Eggers, qui a été tourné en noir et blanc dans le comté de Yarmouth en Nouvelle-Écosse au Canada. Le film, qui a fait sa première mondiale à la Quinzaine des réalisateurs au Festival de Cannes, met également en vedette Willem Dafoe dans le rôle du vieux Thomas Wake.
L'histoire raconte la vie de ces deux hommes vivant dans un phare isolé, alors qu'ils doivent lentement faire face à la solitude, qu'ils perdent la raison et doivent gérer leurs cauchemars.
C'était bien loin des rôles que nous avions l'habitude de voir Pattinson jouer. Nous l'avons donc interrogé sur les défis qu'ont représenté la réalisation du film et sur sa collaboration avec le cinéaste Eggers.
"Lorsqu'un scénario est vraiment bon, cela rend les choses un peu plus facile," explique Pattinson. "Mais le seul problème avec le fait d'avoir un très bon scénario, c'est que vous devez être capable de le faire, cela ne tient qu'à vous de le gâcher. Je pouvais voir qu'il était possible d'en tirer quelque chose de bien, mais c'est également une course immersive, un saut aveugle dans l'abîme. Je ne sais pas si vous connaissez les accents du Maine, mais l'accent du Maine est l'une des choses les plus difficiles que j'ai essayé de comprendre. C'était donc une chose sur laquelle j'ai passé beaucoup de temps à travailler. "
"Je pense qu'il y a quelque chose à propos de l'obscurité du film, et je ne peux pas vous décrire comment y entrer, comment vous poussez dans ce monde. C'est assez cathartique à la fois, mais vous êtes dans un endroit assez étrange tout le temps. Mais oui, je pense que de faire quelque chose de très sombre avec quelqu'un comme Willem, cela change l'atmosphère, car il y a quelque chose d'anarchique. C'est un gentil démon avec qui le faire. Et c'est assez amusant de devenir mauvais avec lui."
[...]
Nouvelle interview de Robert Pattinson avec The Playlist
La traduction :
Alors que les acteurs voient leur notoriété grandir, il est souvent naturel pour eux de se montrer moins ouverts avec les médias qui les ont aidés à les faire connaître. Peut-être que leurs réponses sont un peu plus variées. Ils peuvent même avoir l'air de devenir étrangement timides devant la presse. De temps en temps, cependant, il y a une star qui semble devenir encore plus à l'aise sous les projecteurs de la célébrité au fil des années. Robert Pattinson appartient probablement à cette dernière catégorie.
Une décennie après le lancement de la franchise qui l'a rendu célèbre, Pattinson semble avoir pris son envol et ce n'est pas seulement lié au fait qu'il ait passé six ans à se concentrer sur des films indépendants. J'ai tout d'abord remarqué un léger changement en lui parlant pour "Good Time" des frères Safdie il y a deux ans. Maintenant, l'acteur de 33 ans est presque frivole lorsqu'il discute de son dernier film, "The Lighthouse". On retrouve une certaine franchise et une vraie aisance chez Pattinson qui sont légèrement révélateurs. C'est le cas pour les conversations enregistrées et cette description est plutôt pertinente compte tenu de sa performance dans le drame réalisé par Robert Eggers.
Déjà l'un des films les plus acclamés par la critique de l'année, "The Lighthouse" a aussi eu un box office exceptionnel en seulement deux semaines de diffusion limitée. Se passant dans les années 1800, le film retrouve Pattinson jouant le rôle d'un gardien de phare débutant au passé mystérieux, qui s'associe à un vétéran grisonnant, interprété par Willem Dafoe, pour une garde de 4 semaines sur une île isolée. Au fil des semaines, les personnalités des deux hommes s'affrontent et le personnage de Pattinson commence à vaciller au bord de la folie. La force de leurs performances fait que les deux hommes sont en course pour une nomination aux Oscars.
Au beau milieu de la sortie du film dans les cinémas et d'une campagne bien remplie pour les awards, Pattinson tourne le secret "Tenet" de Christopher Nolan dans la région de Los Angeles. En fait, notre entretien a été retardé en raison d'une journée de tournage plus longue que prévue plutôt dans la semaine. Non seulement, Pattinson a ce blockbuster très attendu sur le pont, mais il s'aventure une fois de plus dans le monde intense des communautés de fans après avoir été choisi pour le rôle de Bruce Wayne dans le prochain film "The Batman" de Matt Reeves.
Au cours de notre conversation, Pattinson a parlé des détails uniques du scénario, de la façon dont l'environnement difficile a influencé son personnage, du succès de "The Lighthouse" jusqu'à présent, de la "ruée" qu'il attend quand il rencontrera des fans de Batman lors de futurs événements et de bien plus encore.
--
The Playlist : J'ai parlé à Willem la semaine dernière et il m'a dit qu'il était prêt à faire le film après avoir lu la première page. Combien de pages cela vous a-t-il pris avant de réaliser que vous vouliez le faire ?
Robert Pattinson : Il était prêt dès la première page ?
C'est ce qu'il a dit.
Je l'ai vraiment aimé, mais il m'a fallut un peu de temps pour le comprendre exactement. Les différentes tonalités du film sont tellement discordantes les unes des autres. J'essayais de comprendre comment cela allait fonctionner ? Il y a des éléments de comédie délirants et ensuite il y a aussi cette sorte de documentaire ethnographique sérieux sur ce gars qui travaille dans un phare. Mais il y a tellement de choses sur les différents mécanismes, le fonctionnement de la lumière, comment le four marche, la corne de brume et toutes ces choses différentes. Et puis, soudainement, il y a un virage massif à la fin et cela devient une terreur totalement surréaliste. Et il m'a fallu un peu de temps pour y réfléchir, mais ensuite, je me disais que c'était tellement original et c'est toujours amusant de faire partie de [quelque chose] comme cela.
The Batman : Matt Reeves confirme que Jeffrey Wright interprétera le commissaire Gordon !
Les rumeurs concernant Jeffrey Wright étaient donc vraies !
Tweet! #Gordon 🦇 pic.twitter.com/O4PBX7MmuH— Matt Reeves (@mattreevesLA) October 30, 2019
mercredi 30 octobre 2019
Nouveau message vidéo de Robert Pattinson pour les fans brésiliens lors de l'avant-première de The Lighthouse à Sao Paulo
Pris par le tournage de Tenet en Californie, à défaut de pouvoir rejoindre Robert Eggers et Willem Dafoe à Sao Paulo hier soir pour l'avant-première brésilienne du film, Robert a enregistré un message vidéo à l'attention des fans !
Robert Pattinson, que não conseguiu vir a São Paulo para a exibição especial de @LighthouseMovie na Mostra, deixou um recado para os fãs brasileiros! #mostrasp #43ªmostra #ofarolnamostra pic.twitter.com/3DE84N2lkU— Mostra SP (@MOSTRASP) October 30, 2019
mardi 29 octobre 2019
Nouvel Extrait de The Lighthouse avec Robert Pattinson et Willem Dafoe
"𝘿𝙤𝙤𝙙𝙡𝙚 𝙇𝙚𝙩 𝙈𝙚 𝙂𝙤 "— Fandango (@Fandango) October 29, 2019
Willem Dafoe and Robert Pattinson dance and drink like maniacs in this exclusive clip from #TheLighthouse. Pattinson and director Robert Eggers will break down this scene for us, two hours from now. pic.twitter.com/t9nGJBMRMM
lundi 28 octobre 2019
dimanche 27 octobre 2019
Nouvelle Interview de Robert Pattinson et Willem Dafoe avec Los Angeles Times
Update : Ajout de deux nouvelles photos :
Et également une nouvelle photo du trio lors du TIFF le mois dernier :
Traduction :
Robert Pattinson sait qu'il doit cesser de parler de masturbation.
Exemple : Lors d'un session de questions/réponses le week-end dernier pour "The Lighthouse", la pièce dingue et claustrophobe qui le met en duo avec Willem Dafoe, Pattinson n'a même pas pu se résoudre à dire le mot quand il a été questionné sur la scène où son personnage s'engage dans une masturbation si furieuse que l'euphémisme "automutilation" s'applique réellement [Note de la traductrice : en anglais le terme "self-abuse" s'applique pour les deux termes].
Et pourtant, peu de temps après, assis en face de Dafoe dans l'élégant bureau du distributeur de films indépendants A24 au Pacific Design Center, Pattinson admet qu'il s'est penché délibérément sur le sujet lors de ses interviews pour "The Lighthouse". Un ami vient de lui envoyer une capture d'écran des titres mettant en avant son nom et la masturbation, demandant dans un message, "Donc..hum...de quelle manière exactement fais-tu la promotion de ce film ?"
"Je trouve cela très amusant," dit Pattinson en riant. "Cela amène les gens à parler du film." Il s'arrête, réfléchissant. "Je ne sais pas si cela amène les gens à voir le film." il éclate de rire à cette pensée. "L'autre jour, je disais à A24, 'Je ne suis pas sûr de réussir ce truc promotionnel."
Dafoe intervient, ronronnant : "C'était bon pour toi ?"
"The Lighthouse" qui est sorti le week-end dernier à une moyenne enviable par écran et qui s'étend sur l'ensemble du pays ce week-end, ne manque pas de sujet à traiter. C'est un conte se passant à la fin du 19ème siècle où deux gardiens de phares, des "wickies", pour utiliser le langage de l'époque - Ephraim Winslow (Pattinson) et Thomas Wake (Dafoe) - essayent de tenir à distance la folie quand une puissante tempête frappe leur île déserte de Nouvelle-Angleterre. Le réalisateur Robert Eggers a tourné le film en noir et blanc avec un format d'image carré qui accentue la fièvre qui règne dans l'histoire.
Quant à l'histoire, il y a des rêves sexuels sur des sirènes, des mouettes déchaînées qui semblent possédées, des flatulences utilisées comme des "démonstrations de pouvoir délibérées," des visions de Thomas (Dafoe) dans la peau de Poséidon (et d'une sirène!) et, en son centre, le mystère du phare lui-même, un secret que Thomas semble comprendre, gardant avidement sa connaissance loin d'Ephraïm.
"Les gens voient ce qu'ils veulent voir," dit Dafoe, se réjouissant de l'ambiguïté du film. "Certaines personnes parle d'une histoire père-fils. D'autres y voient un patron et un employé, un maître et un apprenti. Certains creusent dans des trucs homo érotiques. Certaines personnes aiment simplement les pets."
Les personnages principaux du film ont peu de choses en commun à part leurs traits angulaires, ou comme le dit Eggers, "Quatre des plus belles pommettes au monde." Ils ont tous les deux adoré le premier film d'Eggers, l'histoire d'horreur puritaine "The Witch", et ont séparément approché le cinéaste, signifiant leur intérêt pour collaborer avec lui.
Exemple : Lors d'un session de questions/réponses le week-end dernier pour "The Lighthouse", la pièce dingue et claustrophobe qui le met en duo avec Willem Dafoe, Pattinson n'a même pas pu se résoudre à dire le mot quand il a été questionné sur la scène où son personnage s'engage dans une masturbation si furieuse que l'euphémisme "automutilation" s'applique réellement [Note de la traductrice : en anglais le terme "self-abuse" s'applique pour les deux termes].
Et pourtant, peu de temps après, assis en face de Dafoe dans l'élégant bureau du distributeur de films indépendants A24 au Pacific Design Center, Pattinson admet qu'il s'est penché délibérément sur le sujet lors de ses interviews pour "The Lighthouse". Un ami vient de lui envoyer une capture d'écran des titres mettant en avant son nom et la masturbation, demandant dans un message, "Donc..hum...de quelle manière exactement fais-tu la promotion de ce film ?"
"Je trouve cela très amusant," dit Pattinson en riant. "Cela amène les gens à parler du film." Il s'arrête, réfléchissant. "Je ne sais pas si cela amène les gens à voir le film." il éclate de rire à cette pensée. "L'autre jour, je disais à A24, 'Je ne suis pas sûr de réussir ce truc promotionnel."
Dafoe intervient, ronronnant : "C'était bon pour toi ?"
"The Lighthouse" qui est sorti le week-end dernier à une moyenne enviable par écran et qui s'étend sur l'ensemble du pays ce week-end, ne manque pas de sujet à traiter. C'est un conte se passant à la fin du 19ème siècle où deux gardiens de phares, des "wickies", pour utiliser le langage de l'époque - Ephraim Winslow (Pattinson) et Thomas Wake (Dafoe) - essayent de tenir à distance la folie quand une puissante tempête frappe leur île déserte de Nouvelle-Angleterre. Le réalisateur Robert Eggers a tourné le film en noir et blanc avec un format d'image carré qui accentue la fièvre qui règne dans l'histoire.
Quant à l'histoire, il y a des rêves sexuels sur des sirènes, des mouettes déchaînées qui semblent possédées, des flatulences utilisées comme des "démonstrations de pouvoir délibérées," des visions de Thomas (Dafoe) dans la peau de Poséidon (et d'une sirène!) et, en son centre, le mystère du phare lui-même, un secret que Thomas semble comprendre, gardant avidement sa connaissance loin d'Ephraïm.
"Les gens voient ce qu'ils veulent voir," dit Dafoe, se réjouissant de l'ambiguïté du film. "Certaines personnes parle d'une histoire père-fils. D'autres y voient un patron et un employé, un maître et un apprenti. Certains creusent dans des trucs homo érotiques. Certaines personnes aiment simplement les pets."
Les personnages principaux du film ont peu de choses en commun à part leurs traits angulaires, ou comme le dit Eggers, "Quatre des plus belles pommettes au monde." Ils ont tous les deux adoré le premier film d'Eggers, l'histoire d'horreur puritaine "The Witch", et ont séparément approché le cinéaste, signifiant leur intérêt pour collaborer avec lui.
Libellés :
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Octobre 2019,
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septembre 2019,
The Lighthouse,
TIFF,
Toronto,
Willem Dafoe
Robert Eggers parle de son travail avec Robert Pattinson pour The Lighthouse dans les médias
Interview avec Polygon :
Attention spoiler sur la fin du film !
A un Q&A la nuit dernière, quelqu'un m'a demandé, "Qu'est ce que Rob voit à la fin du film ?" J'ai répondu, "Eh bien, si j'avais photographié cela, vous auriez connu le même sort et je ne peux pas faire cela au public." Mais aussi pour Rob, il a dit, "Je ne veux pas faire un film sur un phare magique, je veux faire un film sur quelqu'un de complètement fou." C'est qu'il a apporté à son interprétation.
Donc, comment avez-vous filmé cette scène de fin ? Je suppose que vous ne lui avez pas non plus explicitement dit ce que contenait la lampe.
Il est intéressant de noter que Rob peut répondre à des conseils de mise en scène silencieux. Vous pouvez dire "C'est une journée heureuse et agréable. Les oiseaux gazouillent." Vous pouvez faire cela et il y répondra très bien. Donc oui, je racontais en quelque sorte ce que je voulais voir ressortir de son expérience. Une partie était visuelle, l'autre était émotionnelle. Mais ce n'était pas comme si, vous savez, "Il y a un chaton géant dedans!"
Et en général avec Rob, il veut souvent connaître le passé de son personnage. Avec mon frère nous avions nos propres idées de son passé, mais notre intention était que le public se pose des questions. Donc avec Rob, je disais souvent, "Tout cela marche. Choisis celui qui te convient le mieux, mais nous avons besoin que tu dises le texte un peu plus comme A ou B pour que le public continue de se questionner, car tu fais le choix et tu le suis, mais je ne veux pas être suffisamment clair pour que le public sache exactement quelle est ta relation avec ce bûcheron blond. Je veux qu'ils se demandent en quoi consistait cette relation."
[...]
Il y a une photo de vous, Willem et Rob à Cannes où vous êtes entrain de faire des doigts d'honneur. Quelle est l'histoire derrière cette photo ?
Je la regrette vraiment car nous avons l'air vraiment imbus de nous-mêmes. Mais en même temps, parce que le film est si bête et ouvertement vulgaire et excessif et qu'il fait d'énormes et mauvais choix et qu'il y reste fidèle, je suis choqué que le film n'est pas plus largement divisé. Lorsque vous vous donnez beaucoup de mal, vous espérez que cela fonctionne, c'est effrayant. Donc je n'aime pas que nous fassions un doigt d'honneur ici. Ce n'est pas pour cela que nous le faisons, mais il faut dire que Valeriia Karaman, qui joue la sirène, c'était son truc. Elle le faisait toujours. C'était son bonjour, son au revoir, son mouvement de danse [elle le ferait] en marchant sur la chaussée à Halifax à des policiers. [Craintif]"Non, ne le fais pas !"
Interview avec Fortune :
C'est hypnotique de vous voir pousser Willem Dafoe et Robert Pattinson dans leur retranchement de tant de manière possible. Ont-ils toujours étaient vos premiers choix pour jouer ces personnages, et quelles étaient vos scènes préférées avec eux deux ?
Je ne sais pas qui d'autre aurait pu jouer ces rôles. Heureusement, ils étaient prêts à relever le défi, donc ça c'est fait assez rapidement.
Dans chaque scène il n'y a qu'eux deux, donc il y a trop de choix. Mais la scène où ils font leur gigue et dansent était très amusante à tourner. Nous l'avons beaucoup répété, et le solo de Willem est assez spectaculaire, donc l'énergie sur le tournage était intense.
Nous ne nous sommes pas beaucoup amusés sur le plateau de tournage. C'était assez misérable et tendu. Mais en tournant cette scène, l'ambiance était survoltée. Et si vous le regardez avec des sous-titres, vous verrez que Rob chante vraiment une chanson de bûcheron, avec les paroles, même si dans le film, on a l'impression qu'il parle en langue étrangère. Quand vous le regardez avec des sous-titres, vous pouvez voir qu'il dit réellement les mots. Ça a scotché tout le monde.
Nouvelle interview de Robert Pattinson et Robert Eggers avec SYFY WIRE
Traduction de l'interview :
Le réalisateur d'un des films les plus fous de cette année est plutôt confiant sur un point : "Les gens pétaient au 19ème siècle," a confié Robert Eggers, le réalisateur derrière The Lighthouse à SYFY Wire. "J'en suis sûr."
C'est un facteur important qui explique pourquoi The Lighthouse, qui raconte ce qui se passe lorsque deux hommes, interprétés par Robert Pattinson et Willem Dafoe, deviennent fous pendant qu'ils s'occupent d'un phare du 19ème siècle, est joyeux lorsqu'il s'agit des éléments plus scatologiques de la vie.
"Je voulais explorer la misère - Je voulais pouvoir rire de la misère, car c'est drôle, franchement. Et donc nous avons commencé très tôt avec les blagues de pets," explique Eggers.
Cela n'affaibli pas la profondeur du film, qui est riche en symboles et en références à la mythologie classique - même si Eggers n'a, soyons clairs, pas dans l'idée d'expliquer en quoi consiste son film. "J'espère que cela ne semble pas manquer de respect au journaliste. C'est juste que ce n'est pas ce qui m'intéresse," a-t-il déclaré.
Au lieu de cela, il aime la façon dont les critiques et le public ont la possibilité de trouver leur propre sens à l'histoire. "Avec mon frère [Max Eggers, qui a co-écrit le film] nous avons travaillé très dur pour avoir des réponses à toutes ces questions, puis pour essayer de raconter l'histoire de manière à ce que, pour utiliser le cliché du cinéaste, cela provoque plus de questions que de réponses," explique-t-il.
Par exemple, le phare invoque une image très claire avec beaucoup de significations différentes, comme le reconnaît Eggers : "Oui, c'est un phallus. Oui, c'est un rayon d'espoir. Oui, c'est une forteresse, une tour de château."
Mais en même temps, The Lighthouse est délibérément un film beaucoup moins mature que le premier long métrage d'Eggers, The Witch - Selon ses mots, il est "juvénile et exagéré et grotesque par sa conception," alors que son premier film, qui parle d'une famille puritaine du 16ème siècle confrontée à des forces perverses se voulait "très sobre et subtile."
"Il y a sans aucun doute de beaux plans," ajoute-t-il, avant d'expliquer comment, avec The Lighthouse, le but était vraiment de souligner la descente vers la folie des personnages. "Si vous avez vécu la folie, vous savez que c'est hors du commun, et donc pour justifier toutes ces choses folles qui se produisent dans le film, nous voulions être proches des choses qui conduisent, en particulier, nos protagonistes fous."
C'est pourquoi, il était important de montrer les aspects les plus explicites des tâches quotidiennes du personnage de Pattinson, notamment de vider les pots de chambre remplis d'excréments, et aussi de mettre en évidence les aspects plus brutaux de la vie du personnage. "Je veux dire, vous suivez son parcours, il a la gueule de bois - nous connaissons ce sentiment, où vous ne trouvez pas d'eau à boire," dit Eggers. "Ensuite il a besoin de se soulager et il ne peut même pas faire cela. C'est un mauvais matin pour Robert Pattinson, n'est-ce pas ?"
Pour info, Eggers avait beaucoup d'exemples d'autres fictions classiques qui n'avaient pas peur d'être cru. "Les pièces de la Commedia dell'arte ont toutes sortes de scènes avec, par exemple, des seringues géantes pour faire des lavements aux personnages," dit-il. "Et il y a un chapitre dans Don Quichotte où Sancho Panza et Don Quichotte sont suspendus à une falaise et Sancho est tellement nerveux à l'idée de mourir qu'il commence à avoir des selles diurétiques qui tombent partout autour de Don Quichotte qui est accroché à une branche en dessous de lui. L'humour scatologique est vieux comme le temps."
Pattinson, pour info, a raconté à SYFY WIRE qu'il était ravi par le niveau de comédie du film, même s'il était également surpris que le public le trouve drôle.
"Le scénario était vraiment sombre, mais c'est toujours étrange quand vous lisez quelque chose de dingue et que vous vous dites, 'je pense que c'est drôle, mais je ne sais pas'" explique-t-il. "Jusqu'à ce que je vois la première projection et que j'entende les gens rire à l'intérieur, honnêtement, je ne savais pas comment ils allaient réagir... Je suis sidéré de constater que les gens pensent que c'est aussi drôle et accessible."
samedi 26 octobre 2019
Nouvelle interview de Robert Pattinson, Robert Eggers et Willem Dafoe avec AP
Cette interview a été réalisée lors du festival du film de Toronto le mois dernier.
Update : Ajout de la traduction :
Update : Ajout de la traduction :
Toronto (AP) - "Bizarre" est un mot vague et imprécis, mais c'est probablement juste de dire qu'il peut être appliqué à un film en noir et blanc qui parle des batailles psychologiques fiévreuses et des visions explicites sur des sirènes de deux gardiens de phares isolés et devenant fous dans les années 1890 dans le Maine.
Pour l'auteur-réalisateur Robert Eggers, le réel et le mythique se rencontrent de manière étrange et hallucinatoire. Il réalise des films d'époque très recherchés, qui ont néanmoins un côté conte de fée irréel. Son premier film, le film d'horreur "The Witch" de 2015, ne se déroulait pas seulement en 1630, mais découlait des vrais contes et cauchemars d'une famille dans une Nouvelle-Angleterre puritaine.
Maintenant, il s'est légèrement déplacé vers le nord pour "The Lighthouse", un conte gothique encore plus intense avec des destins encore pires, victimes de la faune et flore locale. Une chèvre a une place prédominante dans "The Witch". Les mouettes jouent un rôle important dans "The Lighthouse".
Il en va de même pour Robert Pattinson et Willem Dafoe, qui jouent les deux marins qui sont les seuls à s'occuper d'un phare isolé. Dafoe est Thomas Wake, un vieux loup de mer tyrannique et le possessif "gardien de la lumière," et Pattinson est son nouveau et progressivement frustré et détraqué assistant, Efraim Winslow. Les images expressionnistes et l'atmosphère brûlante rappelle quelque chose de Bergman, si on le transplante dans la Suède du Nord-Est de Melville. Mais il y a des allusions à une trame encore plus étrange.
"J'espère que les gens vont y aller et se dire, '(Juron), je regarde un film d'art et d'essai hongrois ennuyeux,'" dit Eggers. Et ensuite, Willem commence à péter et cela indique qu'il se passe autre chose.
Pour l'auteur-réalisateur Robert Eggers, le réel et le mythique se rencontrent de manière étrange et hallucinatoire. Il réalise des films d'époque très recherchés, qui ont néanmoins un côté conte de fée irréel. Son premier film, le film d'horreur "The Witch" de 2015, ne se déroulait pas seulement en 1630, mais découlait des vrais contes et cauchemars d'une famille dans une Nouvelle-Angleterre puritaine.
Maintenant, il s'est légèrement déplacé vers le nord pour "The Lighthouse", un conte gothique encore plus intense avec des destins encore pires, victimes de la faune et flore locale. Une chèvre a une place prédominante dans "The Witch". Les mouettes jouent un rôle important dans "The Lighthouse".
Il en va de même pour Robert Pattinson et Willem Dafoe, qui jouent les deux marins qui sont les seuls à s'occuper d'un phare isolé. Dafoe est Thomas Wake, un vieux loup de mer tyrannique et le possessif "gardien de la lumière," et Pattinson est son nouveau et progressivement frustré et détraqué assistant, Efraim Winslow. Les images expressionnistes et l'atmosphère brûlante rappelle quelque chose de Bergman, si on le transplante dans la Suède du Nord-Est de Melville. Mais il y a des allusions à une trame encore plus étrange.
"J'espère que les gens vont y aller et se dire, '(Juron), je regarde un film d'art et d'essai hongrois ennuyeux,'" dit Eggers. Et ensuite, Willem commence à péter et cela indique qu'il se passe autre chose.
Nouvelle Interview de Robert Pattinson avec Inquirer
On peut également découvrir de nouvelles photos de Robert durant la promo du film à Los Angeles le week end dernier !
Update : Ajout de la traduction de l'interview :
Update : Ajout de la traduction de l'interview :
Première Partie :
Los Angeles - Robert Pattinson n'arrête pas de se masturber - et d'en parler - dans des films. Il se masturbe encore une fois dans le film acclamé du réalisateur Robert Eggers, The Lighthouse.
Robert l'a fait dans trois autres films : "The Devil All The Time", "High Life" et "Damsel". Alors, se masturber pour la quatrième fois à l'écran est un sujet récurrent dans les interviews de l'acteur britannique.
"On m'a dit de ne plus en parler à chaque interview," a déclaré Robert en riant. Nous l'interviewons depuis son adolescence dans les films "Harry Potter". Il était très détendu, joyeux et spontané lors de cette récente interview à Los Angeles.
"Il y avait cette interview que je faisais l'autre jour," a expliqué Robert, qui a maintenant 33 ans. L'âge l'a déridé, le rendant plus drôle et beaucoup plus ouvert. "J'ai passé 20 minutes à parler encore de masturbation (rires). C'est le cas dans chaque interview. J'ai dit à Robert Eggers que la presse pour ce film était folle, tous les gros titres disent "Pattinson refuse d'arrêter de se branler (rires).'"
"Littéralement, je pense qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez moi," a-t-il ajouté en souriant, alors qu'il brosse ses longs cheveux blonds avec ses doigts.
La scène de masturbation dans un hangar a été la première scène qu'il a filmé pour "The Lighthouse", un film en noir et blanc - à la fois bizarre, drôle et sombre - qui a suscité de bonnes critiques depuis ses débuts à Cannes en mai dernier.
Pour leurs interprétations de gardiens de phares à la fin du 19ème siècle, Robert (Ephraim Winslow) et Willem Dafoe (Thomas Wake), sont isolés sur une île reculée au large du Maine, livrés à des soliloques ivres, se déchaînant l'un contre l'autre, entre des moments de tranquillité et d'homo-érotisme, ils ont eu des critiques élogieuses.
"C'est étrange car lorsque nous le faisions - tout ce que contient le film était incroyablement sérieux - c'est une scène très sombre et c'est ce qui m'a vraiment attiré," a expliqué Robert à propos de la scène de masturbation. "Il y a quelque chose chez moi après coup lorsque je fais la promotion du film. Je veux tout alléger.
"Mais à l'époque, ce moment est une scène très bizarre et c'était également magnifiquement écrit dans le scénario. Mais c'était quelque chose à laquelle je pouvais peut-être un peu trop m'identifier (rires)."
Non seulement Robert est plus engagé lors des interviews. Au fil des ans, il est devenu un excellent acteur, après les films "Harry Potter" et "Twilight".
"Peu à peu, vous apprenez un peu ici et là," a-t-il dit. "j'adore encore plus le métier d'acteur à chaque travail. Quand je faisais "Harry Potter", je ne savais vraiment pas si cela allait être le cas. Je suis tombé dans le métier d'acteur et c'était vraiment amusant.
"Mais j'ai du mal à me dire que c'était il y a presque 15 ans. Et de me dire que je suis toujours aussi excité par chaque rôle que je fais. Ensuite, vous trouvez une nouvelle façon de le faire - j'adore toujours cela. Mais oui, c'est un processus d'apprentissage progressif. Et je regarde une tonne de films."
Sur le fait de travailler avec Eggers, qui après son premier film "The Witch", un film d'horreur étrange et sauvage, a fait "The Lighthouse", Robert a répondu, "Si vous regardez 'The Witch', vous pensez qu'il est probablement plus étranger qu'il ne l'est (rires). Mais c'est un homme très agréable (rires). Surtout après avoir vu ce film et "The Witch" vous vous dites, ce gars est cinglé (rires). Mais oui, il est incroyablement amical. Il y a certainement quelque chose d'étrange [chez lui] mais d'une façon agréable. Je pense que pour réaliser, l'excentricité est assez grande.
"Robert (Eggers) travaille extrêmement dur. J'adore les gens qui ont beaucoup d'ambition. Il a rendu les choses difficiles pour lui-même. Il se crée tellement de handicaps différents. "
"Il disait, nous devons tourner sur pellicule, avec des objectifs des années 20, sur des négatifs noir et blanc, sur place, dans des conditions météorologiques incroyablement difficiles. Il embrassait tout cela. Et ensuite, de construire ce phare. Vous ne pouviez pas dire que ce n'était pas un vrai phare quand vous étiez dedans.
"Je me souviens que quand nous y sommes arrivés (en Nouvelle-Écosse, au Canada) nous nous disions, wow vous avez trouvé le plateau de tournage parfait. Mais il n'y avait rien ici avant. C'était juste une falaise de sable."
Los Angeles - Robert Pattinson n'arrête pas de se masturber - et d'en parler - dans des films. Il se masturbe encore une fois dans le film acclamé du réalisateur Robert Eggers, The Lighthouse.
Robert l'a fait dans trois autres films : "The Devil All The Time", "High Life" et "Damsel". Alors, se masturber pour la quatrième fois à l'écran est un sujet récurrent dans les interviews de l'acteur britannique.
"On m'a dit de ne plus en parler à chaque interview," a déclaré Robert en riant. Nous l'interviewons depuis son adolescence dans les films "Harry Potter". Il était très détendu, joyeux et spontané lors de cette récente interview à Los Angeles.
"Il y avait cette interview que je faisais l'autre jour," a expliqué Robert, qui a maintenant 33 ans. L'âge l'a déridé, le rendant plus drôle et beaucoup plus ouvert. "J'ai passé 20 minutes à parler encore de masturbation (rires). C'est le cas dans chaque interview. J'ai dit à Robert Eggers que la presse pour ce film était folle, tous les gros titres disent "Pattinson refuse d'arrêter de se branler (rires).'"
"Littéralement, je pense qu'il y a quelque chose qui ne va pas chez moi," a-t-il ajouté en souriant, alors qu'il brosse ses longs cheveux blonds avec ses doigts.
La scène de masturbation dans un hangar a été la première scène qu'il a filmé pour "The Lighthouse", un film en noir et blanc - à la fois bizarre, drôle et sombre - qui a suscité de bonnes critiques depuis ses débuts à Cannes en mai dernier.
Pour leurs interprétations de gardiens de phares à la fin du 19ème siècle, Robert (Ephraim Winslow) et Willem Dafoe (Thomas Wake), sont isolés sur une île reculée au large du Maine, livrés à des soliloques ivres, se déchaînant l'un contre l'autre, entre des moments de tranquillité et d'homo-érotisme, ils ont eu des critiques élogieuses.
"C'est étrange car lorsque nous le faisions - tout ce que contient le film était incroyablement sérieux - c'est une scène très sombre et c'est ce qui m'a vraiment attiré," a expliqué Robert à propos de la scène de masturbation. "Il y a quelque chose chez moi après coup lorsque je fais la promotion du film. Je veux tout alléger.
"Mais à l'époque, ce moment est une scène très bizarre et c'était également magnifiquement écrit dans le scénario. Mais c'était quelque chose à laquelle je pouvais peut-être un peu trop m'identifier (rires)."
Non seulement Robert est plus engagé lors des interviews. Au fil des ans, il est devenu un excellent acteur, après les films "Harry Potter" et "Twilight".
"Peu à peu, vous apprenez un peu ici et là," a-t-il dit. "j'adore encore plus le métier d'acteur à chaque travail. Quand je faisais "Harry Potter", je ne savais vraiment pas si cela allait être le cas. Je suis tombé dans le métier d'acteur et c'était vraiment amusant.
"Mais j'ai du mal à me dire que c'était il y a presque 15 ans. Et de me dire que je suis toujours aussi excité par chaque rôle que je fais. Ensuite, vous trouvez une nouvelle façon de le faire - j'adore toujours cela. Mais oui, c'est un processus d'apprentissage progressif. Et je regarde une tonne de films."
Sur le fait de travailler avec Eggers, qui après son premier film "The Witch", un film d'horreur étrange et sauvage, a fait "The Lighthouse", Robert a répondu, "Si vous regardez 'The Witch', vous pensez qu'il est probablement plus étranger qu'il ne l'est (rires). Mais c'est un homme très agréable (rires). Surtout après avoir vu ce film et "The Witch" vous vous dites, ce gars est cinglé (rires). Mais oui, il est incroyablement amical. Il y a certainement quelque chose d'étrange [chez lui] mais d'une façon agréable. Je pense que pour réaliser, l'excentricité est assez grande.
"Robert (Eggers) travaille extrêmement dur. J'adore les gens qui ont beaucoup d'ambition. Il a rendu les choses difficiles pour lui-même. Il se crée tellement de handicaps différents. "
"Il disait, nous devons tourner sur pellicule, avec des objectifs des années 20, sur des négatifs noir et blanc, sur place, dans des conditions météorologiques incroyablement difficiles. Il embrassait tout cela. Et ensuite, de construire ce phare. Vous ne pouviez pas dire que ce n'était pas un vrai phare quand vous étiez dedans.
"Je me souviens que quand nous y sommes arrivés (en Nouvelle-Écosse, au Canada) nous nous disions, wow vous avez trouvé le plateau de tournage parfait. Mais il n'y avait rien ici avant. C'était juste une falaise de sable."
vendredi 25 octobre 2019
Interview vidéo de Robert Pattinson avec On The Red Carpet
And the truth is revealed: #RobertPattinson just loves playing a "sick, masochistic lion." The actor tells us exactly what twisted elements attracts him to films like #Twilight and his new horror flick @LighthouseMovie. #TheLighthouse pic.twitter.com/mIbgRdKtl0— On The Red Carpet (@OnTheRedCarpet) October 23, 2019
Nouvelle Bande Annonce de The King
Plus qu'une semaine avant la sortie du film sur Netflix !
On peut enfin découvrir l'accent français de Robert dans cette bande annonce !
mercredi 23 octobre 2019
mardi 22 octobre 2019
Nouvelle interview de Robert Pattinson, Robert Eggers et Willem Dafoe avec Entertainment Weekly
Traduction de l'article :
Dans le nouveau film "The Lighthouse", Robert Pattinson et Willem Dafoe jouent un couple de gardiens de phares bloqués sur une île désolée en 1890. Le réalisateur et co-auteur Robert Eggers (The Witch) s'est donné beaucoup de mal pour que sa comédie d'horreur/dramatique/profondément bizarre ait l'air la plus authentique possible, construisant même un phare pour le film tourné en Nouvelle-Écosse, alors qu'il était impossible de trouver une structure existante dans laquelle tourner.
"Nous avons essayé de trouver un phare, ou une station qui pourrait fonctionner pour le film," déclare le réalisateur pour EW. "Mais ceux qui racontaient notre histoire étaient sur des îles incroyablement isolées au large de la côte du Maine, et vous avez besoin d'un accès routier pour tourner un film. Cela voulait donc dire que nous devions le construire. C'était un défi incroyablement difficile, car nous avions besoin d'une pointe de terre très inhospitalière sur laquelle nous pouvions compter en cas de mauvais temps, et ensuite, nous avons du construire un phare de 21 mètres, capable de résister aux vents violents et aux vents de l'est et dans lequel vous pouvez y avoir des acteurs en toute sécurité."
Et est-ce qu'il fonctionnait vraiment comme un phare ?
"Oui!" explique Eggers. "Les pêcheurs de homard de la Nouvelle-Écosse pouvaient le voir de très loin. Il y avait un vrai phare plus haut sur la péninsule, qui ne pouvait arriver à la cheville de notre phare. Ces rectangles de lumières géants flamboyaient sur le village de pêcheurs de Yarmouth, à travers les fenêtres de tout le monde, même à 3h du matin. Je ne pense pas qu'ils aient beaucoup apprécié cela. Mais la communauté a été d'un soutien incroyable par rapport au film."
Dafoe et Pattinson semblent également authentiques dans le film, dans les rôles du vieux loup de mer, Thomas Wake et de son jeune subordonné, Efraim Winslow. Pattinson révèle qu'Eggers l'a même fait porter des sous-vêtements appropriés pour l'époque.
"Il est complètement méticuleux," raconte l'acteur à propos de son réalisateur. "Quiconque tente de faire quelque chose d'aussi esthétiquement formel, vous pouvez voir quel genre de personne il est. Vous pouviez ouvrir n'importe quel tiroir dans le phare et il y avait des couverts appropriés pour l'époque, venant du département des phares en 1890. Nous portions des sous-vêtements d'époque, que vous ne voyez jamais. Tout était incroyablement particulier."
Interview vidéo de Robert Pattinson avec ET Online
Update : Ajout de la version youtube de l'interview :
Interview vidéo de Robert Pattinson avec Extra
The new #Batman Robert Pattinson talks slipping into that famous suit, plus the crazy acting techniques he used for his movie “The Lighthouse”! Don’t miss the new interview with special correspondent @therachlindsay, Monday on #ExtraTV! pic.twitter.com/4J5Hf3DFUC— ExtraTV (@extratv) October 21, 2019
Update : Ajout de l'interview complète :
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