mardi 12 septembre 2017
Nouvelle/ancienne de photo de Robert Pattinson à New York
Nouvelle Interview de Robert Pattinson avec le journal "Libération"
Et encore une interview faite au festival de Deauville :
L'interview :
ROBERT PATTINSON: «QUAND TU ES ANGLAIS, ON S’ATTEND À CE QUE TU TE CONTENTES DE JOUER UN PRINCE»
De passage au festival de Deauville pour présenter «Good Time», l’Anglais raconte comment le fait de tourner avec les frères Safdie a fait mûrir son jeu.
A 31 ans seulement, l’acteur britannique Robert Pattinson se démarque en superstar intrépide et cinéphile. Ex-vampire étincelant de Twilight, il édifie un parcours déjà admirable de collaborations audacieuses et d’interprétations à l’étoffe de plus en plus singulière. Affichant sa curiosité quand on le rencontre à la faveur d’un passage promo express à Deauville, il note sous nos conseils fiévreux qu’en effet, il devrait regarder la saison 3 de Twin Peaks (même s’il est déjà «frustré de n’avoir jamais été appelé à auditionner à ce casting démesuré»), et prend en note sur son portable le titre du film de Steve De Jarnatt Miracle Mile (1989) dès lors qu’il nous prend de causer apocalypse. Venu en France, entre deux jours de tournage allemand avec Claire Denis, pour vanter sa collaboration avec les frères Safdie, il débarque encore affublé d’un carré blond avec racines à vue, vestige du Connie de Good Time.
L’univers de Good Time transpire l’influence d’un âge d’or hollywoodien révolu. Vous êtes-vous inspiré de figures d’acteurs du passé ?
Malgré la part nostalgique, ce projet m’a vraiment paru inédit. Certains aspects font bien sûr penser à des classiques du genre, comme le Récidiviste de Dustin Hoffman [et Ulu Grosbard, sorti en 1978, ndlr]. On y voit une scène de braquage où le cambrioleur [interprété par Hoffman] Max Dembo hésite quelques secondes. Comme Connie, il pourrait rebrousser chemin et tout serait différent. Il est son propre pire ennemi. J’ai passé beaucoup de temps à me nourrir de la rue, à parler à des gens qui avaient été en prison, d’autres en conditionnelle, d’autres qui vivaient dans la rue. Lorsque tu demandes à quelqu’un son histoire pour le bien d’un film, il reste très ouvert et tu apprends des choses incroyables. Ça se demande difficilement sans le prétexte du cinéma. Dire : «Quels sont tes secrets ? C’est pour un film», ça fonctionne (rires) !
Nouvelle interview de Robert Pattinson avec Le Journal du Dimanche
Interview récente réalisée durant le festival de Deauville :
L'interview :
L'interview :
Robert Pattinson : "Le cinéma d'art et d'essai est celui qui me correspond le mieux"
Robert Pattinson, la star de "Twilight", ne s'épanouit plus que dans le cinéma indépendant, comme dans le polar des frères Safdie.
Il y a dix ans, il rencontrait pour la première fois la presse française dans un palace de la place de la Concorde, envahie par des centaines de fans hurlant son nom pendant des heures. À l'époque, Robert Pattinson enflammait les cœurs en vampire romantique dans Twilight, mais gardait la tête froide. Il n'a pas changé, toujours aussi introverti et mal à l'aise quand il s'agit de prendre la parole en public. Le week-end dernier au Festival de Deauville, qui lui rendait hommage, l'acteur britannique de 31 ans était méconnaissable physiquement, amaigri et le crâne rasé. Pour les besoins de High Life, qu'il tourne actuellement en France pour Claire Denis. "J'ai mis beaucoup de temps à la courtiser. Je lui ai envoyé des e-mails pour la convaincre de me donner un rôle. Je ne peux rien dire, sauf que ça se passe dans un vaisseau spatial. De la science-fiction avec Juliette Binoche!"
Mercredi, il sera à l'affiche de Good Time, un polar mis en scène par Benny et Joshua Safdie, figures de proue du cinéma indépendant américain. À New York, deux frères, Connie et Nick, handicapé mental, braquent une banque. Mais le guichetier a piégé le sac de billets. Incapable de courir, Nick est arrêté par la police. Connie tente de le sortir de prison… Avec une caméra en mouvement perpétuel et au plus près des visages, les frères Safdie racontent l'odyssée nocturne de losers qui se débattent pour s'en sortir. Hypnotisant, le récit montre une descente aux enfers inéluctable, avec une musique électro un peu trop présente, mais qui offre à Robert Pattinson un personnage étonnant.
Il harcèle les réalisateurs
"J'essaie de trouver des scénarios intéressants pour m'améliorer, explique-t-il. Je me considère comme un apprenti. Mon amour pour le cinéma ne cesse de grandir. Je serais dévasté si je me retrouvais au chômage." Il ne risque pas grand-chose. L'acteur révélé par la saga Harry Potter a fait des choix de carrière judicieux, de Cosmopolis de David Cronenberg (2012) à The Lost City of Z de James Gray (2017).
"Le cinéma d'art et d'essai n'a aucune visibilité aux États-Unis, mais c'est celui qui me correspond le mieux. Tous ces auteurs ont des univers particuliers. Je veux me fondre dedans, disparaître. Pour que les spectateurs oublient Robert Pattinson. Changer d'apparence est un des moyens d'y parvenir." Certes, il ne gagne pas les mêmes cachets qu'au générique d'un blockbuster. "Je ne dépense pas beaucoup et je n'ai pas de famille à nourrir!" Il applique la même méthode qu'avec Claire Denis : harceler les réalisateurs. "Mon agent représente au moins deux autres comédiens avec qui je suis en concurrence. Je préfère donc débusquer moi-même les rôles!"
Nouvelle interview de Robert Pattinson avec Télé Z
L'interview est la même que celle publiée dans le magazine "La dernière heure" (à relire ICI), mais certaines parties (celles en gras) sont nouvelles :
L'interview :
L'interview :
Dans Good Time de Joshua et Ben Safdie, Robert Pattinson incarne un loser qui tente de trouver de l’argent pour honorer la caution qui libérera son frère handicapé de prison. Les bas-fonds de New York servent de décor et pour ce rôle, le britannique n’a pas hésité à s’enlaidir. Dix ans après la projection du premier épisode de la saga de Twilight, l’ex-vampire revient sur son parcours, sa vie, l’amour, les fans, les femmes et… sa passion pour les W.C japonais.
TeleZ.fr : Dans Good Time de Joshua et Ben Safdie, vous êtes méconnaissable. Barbe hirsute, teint cireux, œil glauque, hygiène douteuse. Vous ne craignez pas de décevoir les jeunes filles qui vous ont punaisé des posters de vous dans leur chambre depuis Twilight ?
Robert Pattinson : (rires). Je pense que c’est un retour aux sources ! Vous savez, avant de décrocher le rôle d’Edward dans Twilight, je n’avais pas incarné de beaux gosses de service. Le problème, c’est qu’une fois qu’on vous a collé une étiquette, dès que vous sortez un peu du registre dans lequel on vous a apprécié, les gens ne comprennent plus ! Combien de fois dans ma vie j’ai marché dans la rue, avec un look pas très frais et des fringues pas très propres. Au final, vous aviez toujours une fan de Twilight qui s’approchait de moi en criant « Whaaaaaouh ! Tu es tellement beau » alors que, franchement, j’étais plutôt repoussant ! En fait, il faut bien admettre qu’il y a une perte de perception objective ! Le cinéma est un médium tellement puissant, il imprime tellement la rétine que l’on ne voit plus la réalité !
Comment êtes-vous rentré dans ce personnage underground ?
J’ai demandé qu’on me laisse seul pendant plusieurs semaines. Je voulais faire ce travail d’immersion par moi-même. Sans aide extérieure. On ne peut pas jouer ce mec paumé, un type au bout du rouleau si, pendant le tournage, on vous file une chambre dans un palace ou une caravane tout confort ! Pour ce rôle, j’ai vécu dans une cave située dans un immeuble de Harlem ! Le lieu était sordide. J’avais pris soin de ne jamais ouvrir les rideaux, il faisait tout le temps noir. Du coup, j’ai très vite pris un teint blafard. Dans la vraie vie, en bon Anglais qui se respecte, j’ai déjà une peau plutôt claire, mais là, on avait franchement le sentiment que je venais juste d’être repêché après plusieurs semaines passées dans l’eau !
Nouvel extrait de l'interview vidéo de Robert Pattinson avec BFMTV lors du Festival de Cannes 2017
Pour revoir un ancien extrait de l'interview, c'est Par ici
Robert Pattinson n'est plus l'idole des ados et veut le montrer dans son nouveau film pic.twitter.com/n4kjWa1zIs— BFMTV People (@BFMTV_People) 12 septembre 2017
Nouvelles photos de Robert Pattinson dans le magazine GQ de septembre 2017
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