Le magazine première a publié sur son site de nouvelles parties de son interview avec Matt Reeves et Robert !
Extrait :
Quand même : The Batman semble bien plus tendre vers le « réalisme » nolanien que vers la fête foraine burtonienne.MR : Il est certain qu’on est très loin du ton des films de Tim Burton… Le réalisme était dans mon cahier des charges, c’était pour moi l’unique façon de raconter cette histoire comme je l’envisageais.RP : On en est à combien de films Batman ? Pas loin de dix ? Et ce n’est pas comme s’il y avait eu une série de ratés. On ne se voyait pas comme les sauveurs de la franchise ! Évidemment que ça allait être compliqué de ne pas se répéter. Mais je crois sincèrement que la tonalité de The Batman n’a rien à voir, c'est une autre vision du personnage. Dans les comics, Batman est quelqu’un de plus… instable. Si on lit entre les lignes, c’est très triste en fait. Alors qu’au cinéma, c’est toujours son côté héroïque qui est mis avant. The Batman fait l’inverse, on capte le bouillonnement intérieur du personnage. À mon avis, le seul autre à y parvenir est le film d’animation Batman contre le Fantôme Masqué [de Bruce Timm et Eric Radomski, 1992]. Quand je l’ai vu, ça a fait tilt : être Batman est une sorte de malédiction, c’est un fardeau. Mais bon mec, c’est toi qui l’as décidé, non ? « Non non non, je DOIS être Batman. J’ai été choisi, pas l’inverse. » Je crois qu’on n’a jamais vraiment vu ça dans un film live.
Pour lire le reste de l'interview, rendez-vous sur le site de Première
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