Dans cette interview, Robert revient sur les différentes déclarations qu'il a pu faire lors de récentes interviews :
Update : Ajout de la traduction :
La seule chose encore plus étrange que le nouveau film de Robert Pattinson pourrait être les titres scandaleux qu'il a inspiré.
"Robert Pattinson s'est vraiment pissé dessus en faisant "The Lighthouse"," a récemment déclaré Yahoo à propos du psychodrame nautique (dans les cinémas à New York et Los Angeles ce vendredi, et sortant nationalement en Octobre et Novembre). "Robert Pattinson a fait des choses vraiment nauséabondes pour entrer dans la peau du personnage de son nouveau film," a déclaré Refinery29, alors que Vanity Fair a noté qu'il a "beaucoup vomi," pour jouer le gardien de phare stoïque qui devient fou.
De la même manière, des articles reportant qu'il mangeait de la boue, qu'il était ivre mort et prêt à frapper le scénariste/réalisateur Robert Eggers sur le tournage, ont rapidement fait le tour des médias sociaux. Mais l'acteur de "twilight" insiste sur le fait que la plupart de ces comportements ont été largement exagérés ou sortis de leur contexte lors de ses conversations avec Esquire et Interview Magazine.
"Je ne me suis pas vraiment saoulé - cela aurait été absolument impossible," dit en riant Pattinson. "Je peux plus facilement me préparer à être incontrôlable en étant sobre, car si j'étais ivre, je ne ferais que de rire."
"Me pisser dessus était une autre exagération," ajoute-t-il, "Mais j'ai mangé beaucoup de boue," en se roulant et léchant des flaques d'eau alors qu'il se plongeait dans son personnage dérangé.
Après avoir été audacieux et acclamé par les critiques comme cambrioleur de banque ("Good Time" en 2017) et astronaute captif ("High Life" au printemps dernier), Pattinson 33 ans, n'avait pas peur de se salir les mains dans "The Lighthouse", un film interdit au mineur, en noir et blanc, mettant également en vedette Willem Dafoe dans le rôle d'un ex-marin qui s'appelle Thomas et qui prend Ephraim, joué par Pattinson, pour son assistant.
Se passant à la fin du 19ème siècle, la comédie noire se déroule dans un phare aux pouvoirs mystiques sur la côte rocheuse de l'Atlantique. Vivant et travaillant à proximité, le duo incongru commence à s'effondrer après qu'Ephraim, dans une crise de rage momentanée, énerve inconsciemment les dieux de la mer et une violente tempête les piège à l'intérieur pendant plusieurs jours. De plus en plus claustrophobes et irrités, les hommes passent leur temps à boire, à danser et littéralement à lutter pour avoir le pouvoir sur leur poste éloigné. (Et cela quand Ephraim ne se masturbait pas devant une figurine de sirène, qui joue un rôle cauchemardesque dans sa descente dans la folie.)
"C'est un scénario tellement fou," dit Pattinson à propos de "Lighthouse," le second film d'Eggers après le film d'horreur "The Witch" en 2015. Tourné dans une crique rurale en Nouvelle-Écosse l'année dernière, "Nous étions dans les mêmes conditions que ces personnages, et il y a quelque chose de libérateur quand vous êtes constamment recouvert de boue et trempés. Il y avait une sorte d'énergie anarchique, que j'ai toujours trouvé amusante, mais aussi assez épuisante."
Dafoe, 64 ans, se souvient d'une journée particulièrement surréaliste, où l'un des personnages conduit l'autre en laisse à l'extérieur et lui ordonne d'aboyer comme un chien.
"C'était misérable," dit Dafoe. "Mes pieds étaient coupés et c'était dur, humide et plein de ronces. Vous ne ressentez pas à quel point c'est mauvais (en le regardant)."
En dehors d'un weekend occasionnel autour de homards bouillis, Pattinson et Dafoe ont rarement eu l'occasion de socialiser durant le tournage : Non pas parce qu'il y avait des tensions entre les acteurs, mais ils étaient littéralement "pieds nus, couverts de boue et de sang, il y a de la porcelaine cassée sur le sol, ça sent comme si quelque chose était mort là-dedans, et il fait très froid," dit Eggers. "De quoi voulez-vous parler ?"
En ce qui concerne ce prétendu accrochage avec Pattinson, il n'y en avait pas : "Il est professionnel - il ne va pas me menacer de me frapper ou quoi que ce soit," raconte le cinéaste. Il y a eu un jour pluvieux durant le tournage où "on ne voyait pas la pluie en gros plan, donc nous l'avons vaporisé avec un tuyau d'incendie. A ce moment-là, je pouvais voir qu'il se disait, '(Juron), mec.'"
En dépit des exigences physiques éprouvantes et de la perte de prise d'Ephraim, Pattinson n'a jamais craint pour son propre bien-être mental en faisant "Lighthouse."
"Quand quelqu'un traverse son moment le plus tourmenté psychologiquement et qu'on le combine avec (la masturbation), il y a quelque chose de tellement hilarant et pervers qu'on ne voit pas dans les films," dit-il.
Le britannique, qui portera ensuite la cape de "The Batman" de Matt Reeves (en salles en 2021), a même certaines des lignes les plus drôles du film, criant avec ferveur, "J'en ai marre de tes (Jurons) pets !" au personnage flatulent de Dafoe dans une confrontation houleuse.
La pique est déjà un succès pour les critiques sur Twitter, ce qui ne dérangerait pas Pattinson si cela le suivait pour le reste de sa carrière.
"Ce serait drôle, n'est-ce pas ? De marcher dans la rue et que des gens vous crient, "Vos pets ! Vos pets !" plaisante-t-il. "Si tel est mon héritage, ce serait génial, bien sûr."
"Robert Pattinson s'est vraiment pissé dessus en faisant "The Lighthouse"," a récemment déclaré Yahoo à propos du psychodrame nautique (dans les cinémas à New York et Los Angeles ce vendredi, et sortant nationalement en Octobre et Novembre). "Robert Pattinson a fait des choses vraiment nauséabondes pour entrer dans la peau du personnage de son nouveau film," a déclaré Refinery29, alors que Vanity Fair a noté qu'il a "beaucoup vomi," pour jouer le gardien de phare stoïque qui devient fou.
De la même manière, des articles reportant qu'il mangeait de la boue, qu'il était ivre mort et prêt à frapper le scénariste/réalisateur Robert Eggers sur le tournage, ont rapidement fait le tour des médias sociaux. Mais l'acteur de "twilight" insiste sur le fait que la plupart de ces comportements ont été largement exagérés ou sortis de leur contexte lors de ses conversations avec Esquire et Interview Magazine.
"Je ne me suis pas vraiment saoulé - cela aurait été absolument impossible," dit en riant Pattinson. "Je peux plus facilement me préparer à être incontrôlable en étant sobre, car si j'étais ivre, je ne ferais que de rire."
"Me pisser dessus était une autre exagération," ajoute-t-il, "Mais j'ai mangé beaucoup de boue," en se roulant et léchant des flaques d'eau alors qu'il se plongeait dans son personnage dérangé.
Après avoir été audacieux et acclamé par les critiques comme cambrioleur de banque ("Good Time" en 2017) et astronaute captif ("High Life" au printemps dernier), Pattinson 33 ans, n'avait pas peur de se salir les mains dans "The Lighthouse", un film interdit au mineur, en noir et blanc, mettant également en vedette Willem Dafoe dans le rôle d'un ex-marin qui s'appelle Thomas et qui prend Ephraim, joué par Pattinson, pour son assistant.
Se passant à la fin du 19ème siècle, la comédie noire se déroule dans un phare aux pouvoirs mystiques sur la côte rocheuse de l'Atlantique. Vivant et travaillant à proximité, le duo incongru commence à s'effondrer après qu'Ephraim, dans une crise de rage momentanée, énerve inconsciemment les dieux de la mer et une violente tempête les piège à l'intérieur pendant plusieurs jours. De plus en plus claustrophobes et irrités, les hommes passent leur temps à boire, à danser et littéralement à lutter pour avoir le pouvoir sur leur poste éloigné. (Et cela quand Ephraim ne se masturbait pas devant une figurine de sirène, qui joue un rôle cauchemardesque dans sa descente dans la folie.)
"C'est un scénario tellement fou," dit Pattinson à propos de "Lighthouse," le second film d'Eggers après le film d'horreur "The Witch" en 2015. Tourné dans une crique rurale en Nouvelle-Écosse l'année dernière, "Nous étions dans les mêmes conditions que ces personnages, et il y a quelque chose de libérateur quand vous êtes constamment recouvert de boue et trempés. Il y avait une sorte d'énergie anarchique, que j'ai toujours trouvé amusante, mais aussi assez épuisante."
Dafoe, 64 ans, se souvient d'une journée particulièrement surréaliste, où l'un des personnages conduit l'autre en laisse à l'extérieur et lui ordonne d'aboyer comme un chien.
"C'était misérable," dit Dafoe. "Mes pieds étaient coupés et c'était dur, humide et plein de ronces. Vous ne ressentez pas à quel point c'est mauvais (en le regardant)."
En dehors d'un weekend occasionnel autour de homards bouillis, Pattinson et Dafoe ont rarement eu l'occasion de socialiser durant le tournage : Non pas parce qu'il y avait des tensions entre les acteurs, mais ils étaient littéralement "pieds nus, couverts de boue et de sang, il y a de la porcelaine cassée sur le sol, ça sent comme si quelque chose était mort là-dedans, et il fait très froid," dit Eggers. "De quoi voulez-vous parler ?"
En ce qui concerne ce prétendu accrochage avec Pattinson, il n'y en avait pas : "Il est professionnel - il ne va pas me menacer de me frapper ou quoi que ce soit," raconte le cinéaste. Il y a eu un jour pluvieux durant le tournage où "on ne voyait pas la pluie en gros plan, donc nous l'avons vaporisé avec un tuyau d'incendie. A ce moment-là, je pouvais voir qu'il se disait, '(Juron), mec.'"
En dépit des exigences physiques éprouvantes et de la perte de prise d'Ephraim, Pattinson n'a jamais craint pour son propre bien-être mental en faisant "Lighthouse."
"Quand quelqu'un traverse son moment le plus tourmenté psychologiquement et qu'on le combine avec (la masturbation), il y a quelque chose de tellement hilarant et pervers qu'on ne voit pas dans les films," dit-il.
Le britannique, qui portera ensuite la cape de "The Batman" de Matt Reeves (en salles en 2021), a même certaines des lignes les plus drôles du film, criant avec ferveur, "J'en ai marre de tes (Jurons) pets !" au personnage flatulent de Dafoe dans une confrontation houleuse.
La pique est déjà un succès pour les critiques sur Twitter, ce qui ne dérangerait pas Pattinson si cela le suivait pour le reste de sa carrière.
"Ce serait drôle, n'est-ce pas ? De marcher dans la rue et que des gens vous crient, "Vos pets ! Vos pets !" plaisante-t-il. "Si tel est mon héritage, ce serait génial, bien sûr."
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