Sur le Tapis rouge de "The Rover", Robert Pattinson sous une nouvelle forme.
La seule similitude entre le travail de Pattinson dans Twilight et dans son nouveau film "the Rover" ? Les fans en délire qui apparaissent alors qu'il marchait sur le tapis rouge à Los Angeles jeudi dernier, lors de la première américaine du film australien indépendant.
"C'est toujours distrayant quand cela arrive," a raconté le réalisateur de The rover, David Michod, au cours d'une rare accalmie à l'extérieur du Théâtre Regency Bruin.
Avant de choisir Pattinson dans The Rover - Le second film du réalisateur (le premier était "Animal KingDom" en 2010) - Michod dit qu'il n'a pas été influencé par la période vampirique de Pattinson.
"Je ne connaissais que très peu son travail, mais je l'avais rencontré avant même de savoir que j'allais faire "The Rover" et je l'avais apprécié," raconte Michod. "J'ai trouvé son énergie physique vraiment séduisante et il était en quelque sorte émotionnellement disponible, donc j'avais vraiment envie de voir ce qu'il pouvait faire. Et il m'en a mis plein la vue, au point qu'avec mon directeur de casting ont s'est tourné l'un vers l'autre une fois qu'il a quitté la pièce et on s'est dit "Et bien, Ok, on a trouvé, pas vrai ?<"
Cette rencontre a finalement conduit Michod a choisir Pattinson dans son nouveau film, qui montre la star et Guy Pearce dans un duo improbable qui se lance dans une quête à travers un paysage post-apocalyptique. Pattinson a échangé la peau qui scintillent et les cheveux parfaitement coiffé par des plaies ouvertes et une coupe de cheveux raté.
"C'est tellement sombre, et juste si différent." raconte pattinson à propos du film. "Quelque chose m'a parlé, et je ne sais vraiment pas ce que c'était."
Il ajoute, "Si ces scénarios m'arrivaient tous les six mois, je voudrais les faire à chaque fois. Mais ce n'est pas le cas."
Pearce remarque qu'il "a vu la transformation avant le premier jour, vraiment" et Liz Watts, une des productrices du film, dit qu'elle croit que la philosophie de l'équipe a aidé Pattinson à parfaire son personnage.
L'acteur, dit-elle, "Est venu dans l'Outback et a du résisté aux mouches, à la chaleur, à la poussière et à tout le reste." (Pattinson a fait des commentaires élogieux sur l'isolement du lieux de tournage qui l'a aidé à se concentrer sur son rôle.)
Il y avait une ambiance différente à Westwood jeudi soir, les fans en délire était un rappel des expériences plus typique de Pattinson.
Tenant une grande affiche du visage de Pattinson, Nancy Cambino, 47 ans, raconte qu'elle a voyagé depuis Long Island pour voir Pattinson à la première de The RoveR. Elle est devenue fan pendant Twilight et l'a rencontré plusieurs fois. Mais ce n'est pas Twilight qui fait qu'elle continue d'apprécier Pattinson.
Cambinon dit qu'elle a déjà son ticket pour voir the Rover cette nuit à une projection publique, pointant avec impatience les mots sur son affiche de Pattinson au dessous du titre du film.
"Un rôle redéfinissant sa carrière. C'est ce dont il s'agit." dit-elle.
Source
Traduction Sabine@therpattzrobertpattinson.blogspot.fr
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