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samedi 7 juin 2014
Robert Pattinson au Q&A après la projection de The Rover - Sydney Film Festival - 07.06.2014 ( VIdéo vostfr)
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Interview de David Michôd, Robert Pattinson, Guy Pearce avec Australian Associated Press ( Vidéo vostfr)
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David Michôd parle de Robert Pattinson avec The Daily Telegraph (Australie) "C'est assez fou la bulle dans laquelle il doit vivre"
Ses jours en tant que suceur de sang sont loin derrière lui mais essayez de dire ça aux centaines de fans qui sont venus s'agglutiner devant The State Theatre la nuit dernière pour apercevoir leur vampire préféré Robert Pattinson.
De retour en ville pour dévoiler son nouveau film australien The Rover — un film à des kilomètres de son personnage d' Edward Cullen dans la saga Twilight— le beau britannique a passé environ 30 minutes à saluer les fans et à signer des autographes le long de Market Street dont une voie avait été fermée à la circulation pour l'événement.
Et voilà l'hystérie, même le réalisateur de The Rover, David Michod, a admis qu'il a sympathisé pour son acteur principal — même 3 ans après la fin du tournage de Twilight — et qu'il ne peut pas se débarrasser de l'adulation.
“Tout le temps... je compatis tout le temps avec lui” a dit Michod la nuit dernière sur le tapis rouge
“C'est assez fou la bulle dans laquelle il doit vivre .
“Il y a très peu de personnes au monde qui peuvent inspirer cette sorte de‘Beatlemania’ bizarre et ce fut une des expériences les plus extraordinaires de travailler avec lui dans le désert. C'était tellement libérateur pour lui.
“Pouvoir s'asseoir dans la rue avec lui à la fin de la journée et boire une bière".
“C'était assez incroyable.”
A en juger ses rôles après Twilight , il est clair que Pattinson fait de son mieux pour prendre des distance avec le rôle qui l'a fait devenir une stars.
source Daily Telgraph via Robsessed
De retour en ville pour dévoiler son nouveau film australien The Rover — un film à des kilomètres de son personnage d' Edward Cullen dans la saga Twilight— le beau britannique a passé environ 30 minutes à saluer les fans et à signer des autographes le long de Market Street dont une voie avait été fermée à la circulation pour l'événement.
Et voilà l'hystérie, même le réalisateur de The Rover, David Michod, a admis qu'il a sympathisé pour son acteur principal — même 3 ans après la fin du tournage de Twilight — et qu'il ne peut pas se débarrasser de l'adulation.
“Tout le temps... je compatis tout le temps avec lui” a dit Michod la nuit dernière sur le tapis rouge
“C'est assez fou la bulle dans laquelle il doit vivre .
“Il y a très peu de personnes au monde qui peuvent inspirer cette sorte de‘Beatlemania’ bizarre et ce fut une des expériences les plus extraordinaires de travailler avec lui dans le désert. C'était tellement libérateur pour lui.
“Pouvoir s'asseoir dans la rue avec lui à la fin de la journée et boire une bière".
“C'était assez incroyable.”
A en juger ses rôles après Twilight , il est clair que Pattinson fait de son mieux pour prendre des distance avec le rôle qui l'a fait devenir une stars.
source Daily Telgraph via Robsessed
David Michôd parle de l'audition de Robert Pattinson pour The Rover avec le Herald Sun
"Je n'avais pas vu les films Twilight mais des amis à moi avaient dit qu'il (Pattinson) était un mec intéressant,” a dit Michod à Adelaide.
Pattinson, qui a offert une performance épatante, déteste les auditions mais Michod a utilisé ce processus afin d'explorer le personnage de cet homme blessé qu' Eric (Guy Pearce) kidnappe dans le film.
“Je lui ai fait passé 4 heures qu'il pourrait qualifier d'enfer et j'ai utilisé 3h55 pour explorer le personnage avec lui ,” dit Michod. “Il a vraiment une énergie physique envoutante, il est clairement intelligent et il cherchait activement des réalisateurs dont il aimait le travail.”
Source Herald Sun via Robsessed
Pattinson, qui a offert une performance épatante, déteste les auditions mais Michod a utilisé ce processus afin d'explorer le personnage de cet homme blessé qu' Eric (Guy Pearce) kidnappe dans le film.
“Je lui ai fait passé 4 heures qu'il pourrait qualifier d'enfer et j'ai utilisé 3h55 pour explorer le personnage avec lui ,” dit Michod. “Il a vraiment une énergie physique envoutante, il est clairement intelligent et il cherchait activement des réalisateurs dont il aimait le travail.”
Source Herald Sun via Robsessed
Nouvelle interview de Robert Pattinson dans Le Daily Mail "Rob c'est la Beatle mania" selon David Michôd
Parmi les flashs , les fans et le buzz autour de l'avant première australienne de The Rover , sa star Robert Pattinson était vraiment nostalgique de l'Outback.
Pattinson, son collègue Guy Pearce et le réalisateur David Michod ont foulé le tapis rouge à Sydney samedi soir pour le très attendu 2ème film de Michod après Animal Kingdom, et qui est projeté dans le cadre du festival du film de Sydney.
Des centaines de fans ont attendu le long des rues la star de Twilight star, certains d'entre eux étaient là depuis le matin.
L'anticipation semblait être un peu trop présente pour un des fans , qui a grimpé au dessus de la barrière pour jeter un coup d'oeil de plus près, avant de se rendre compte que ce n'était sans doute pas une bonne idée de rester en plein milieu d'une rue à trois voies..
Quand les stars sont arrivées, une des voies devant le State Theatre a été bloquée pour permettre à Pattinson et Pearce d'aller à l'encontre et de prendre des photos avec la foule. Les voitures étaient collées serrées derrière, se rendant compte du buzz autour d'eux, les conducteurs le visage pressé contre les vitres avec leur téléphone à la main pour tenter de prendre une photo..
Pearce dit que cela n'était pas choquant car Pattinson "le mérite complétement".
"C'est cependant vraiment bien rempli," dit il "Je suis ravi que ça ne m'arrive pas tout le temps."
Pearce avait eu un avant goût de cette hystérie ces dernières années , particulièrement dans Neighbours, mais il admet que "ça n'a jamais été une telle folie".
Le réalisateur David Michod a su quand Pattinson a signé pour jouer dans The Rover que ce type de fandom existait, mais il ne savait pas vraiment ce que ça lui ferait d'être proche de ces fans là.
"Avec Rob , c'est la Beatlemania," dit il.
"Mais c'est l'une des choses les plus géniales et c'est une telle récompense pour moi de vivre toute cette expérience et de se rendre compte que le gars qui est au centre de cette bulle bizarre est en fait un être humain vraiment merveilleux, gentil, humble, intéressant et marrant."
The Rover a été tourné pendant 7 semaines au fin fond de l'Australie du Sud. Et pour Pattinson, être dans l' Outback lui a permis de se sentir un peu plus libre.
"L'Outback me manque vraiment, j'ai adoré être là bas," dit il, ajoutant aussi que les Australiens en général allaient lui manquer.
Dans The Rover, Pattinson incarne Rey, un jeune simple d'esprit , originaire du sud de l'Amérique qui se retrouve seul et obligé d'aider le personnage de Pearce, Eric – un solitaire froid et en colère – à trouver le gang qui a volé sa voiture. La performance de Pattinson , pleine de tics et de vulnérabilité, a été nommée "tournant de sa carrière" et pour Pearce, le voir incarner Rey a été "profondément émouvant".
"En fait, je ne pense pas que j'ai travaillé les premiers et le 2ème jour, je suis arrivé et j'ai regardé Rob faire des trucs et j'ai été surpris parce ce qu'il faisait".
"Je l'embarrasse en lui disant ça là maintenant mais je l'ai trouvé vraiment extraordinaire , une performance vraiment belle."
source Daily Mail UK via @clarabelg1
Pattinson, son collègue Guy Pearce et le réalisateur David Michod ont foulé le tapis rouge à Sydney samedi soir pour le très attendu 2ème film de Michod après Animal Kingdom, et qui est projeté dans le cadre du festival du film de Sydney.
Des centaines de fans ont attendu le long des rues la star de Twilight star, certains d'entre eux étaient là depuis le matin.
L'anticipation semblait être un peu trop présente pour un des fans , qui a grimpé au dessus de la barrière pour jeter un coup d'oeil de plus près, avant de se rendre compte que ce n'était sans doute pas une bonne idée de rester en plein milieu d'une rue à trois voies..
Quand les stars sont arrivées, une des voies devant le State Theatre a été bloquée pour permettre à Pattinson et Pearce d'aller à l'encontre et de prendre des photos avec la foule. Les voitures étaient collées serrées derrière, se rendant compte du buzz autour d'eux, les conducteurs le visage pressé contre les vitres avec leur téléphone à la main pour tenter de prendre une photo..
Pearce dit que cela n'était pas choquant car Pattinson "le mérite complétement".
"C'est cependant vraiment bien rempli," dit il "Je suis ravi que ça ne m'arrive pas tout le temps."
Pearce avait eu un avant goût de cette hystérie ces dernières années , particulièrement dans Neighbours, mais il admet que "ça n'a jamais été une telle folie".
Le réalisateur David Michod a su quand Pattinson a signé pour jouer dans The Rover que ce type de fandom existait, mais il ne savait pas vraiment ce que ça lui ferait d'être proche de ces fans là.
"Avec Rob , c'est la Beatlemania," dit il.
"Mais c'est l'une des choses les plus géniales et c'est une telle récompense pour moi de vivre toute cette expérience et de se rendre compte que le gars qui est au centre de cette bulle bizarre est en fait un être humain vraiment merveilleux, gentil, humble, intéressant et marrant."
The Rover a été tourné pendant 7 semaines au fin fond de l'Australie du Sud. Et pour Pattinson, être dans l' Outback lui a permis de se sentir un peu plus libre.
"L'Outback me manque vraiment, j'ai adoré être là bas," dit il, ajoutant aussi que les Australiens en général allaient lui manquer.
Dans The Rover, Pattinson incarne Rey, un jeune simple d'esprit , originaire du sud de l'Amérique qui se retrouve seul et obligé d'aider le personnage de Pearce, Eric – un solitaire froid et en colère – à trouver le gang qui a volé sa voiture. La performance de Pattinson , pleine de tics et de vulnérabilité, a été nommée "tournant de sa carrière" et pour Pearce, le voir incarner Rey a été "profondément émouvant".
"En fait, je ne pense pas que j'ai travaillé les premiers et le 2ème jour, je suis arrivé et j'ai regardé Rob faire des trucs et j'ai été surpris parce ce qu'il faisait".
"Je l'embarrasse en lui disant ça là maintenant mais je l'ai trouvé vraiment extraordinaire , une performance vraiment belle."
source Daily Mail UK via @clarabelg1
Interview de Robert Pattinson avec ASOS Australia (Traduction)
Bonjour Robert ! Bienvenue à Sydney. Dites nous, qu'est qui a attiré votre intérêt dans le film ?
Je me suis dit que le scénario était tellement rare et direct. Il avait même l'air différent sur le papier, comme si la mise en forme était différente. Il n'y avait pas de virgules ! J'ai pensé que c'était original et mon agent m'a dit que c'était une offre, et je me suis dit "Vraiment ? On ne me propose jamais des trucs comme ça !" Et puis il m'a dit... "Oh non, je t'ai envoyé le mauvais e-mail, tout le monde auditionne pour ça."[Rires].
Comment décririez-vous votre personnage, Rey ?
Il est très...dépendant. Tout le monde lui a dit qu'il y avait quelque chose qui clochait chez lui, qu'il était un peu déficient, alors que ce n'est pas vraiment établi s'il l'est ou pas.
Quels ont été les défis pour donner vie à Rey ?
Principalement le costume ! Ça semble ridicule, mais c'était la partie la plus importante. Aussitôt que j'ai eu le bon jean - nous en avons essayé, genre, 1 million ! - Et une fois que nous avons trouvé le bon jean pour lui et les baskets qui étaient un peu trop grandes [tout s'est enchaîné].
On peut définitivement se lier à ce sentiment ! A quel point la mode et les costumes importent dans un film ? Est-ce quelque chose à laquelle vous faites attention ?
C'est énorme pour moi ! C'est bizarre, mais j'avais une apparence spécifique dans The rover - jusqu'à la couleur du tee-shirt. Nous avons fait quelques essais et [quand vous avez trouvé le bon vêtement], soudainement vous marchez différemment.
Quelle a été la scène la plus difficile à tourner ? Il y a tellement de graphisme, de moments de confrontation.
Ma scène la plus dure - et c'est sans doute un peu un cadeau - mais je devais avoir un tuyau le long de ma jambe, avec trois gars contrôlant ma pompe, et c'était probablement ma plus grosse scène dans le film. Je ne savais pas à quel point ce serait compliqué à mettre en place.
Selon vous, qu'est ce qui rend les films australien unique ?
Depuis quelques années, c'est tout à coup devenu un genre unique. Je ne sais pas ce que c'est ! Il y a quelque chose sur le fait d'être si isolé - je pense que ça semble très étranger. Je pense qu'il y a une confiance dans le cinéma qui n'existe pas ailleurs. En Australie, il y a un genre de vitalité. Une vitalité sombre.
Source Via
Traduction : Sabine@therpattzrobertpattinson.blogspot.fr
Je me suis dit que le scénario était tellement rare et direct. Il avait même l'air différent sur le papier, comme si la mise en forme était différente. Il n'y avait pas de virgules ! J'ai pensé que c'était original et mon agent m'a dit que c'était une offre, et je me suis dit "Vraiment ? On ne me propose jamais des trucs comme ça !" Et puis il m'a dit... "Oh non, je t'ai envoyé le mauvais e-mail, tout le monde auditionne pour ça."[Rires].
Comment décririez-vous votre personnage, Rey ?
Il est très...dépendant. Tout le monde lui a dit qu'il y avait quelque chose qui clochait chez lui, qu'il était un peu déficient, alors que ce n'est pas vraiment établi s'il l'est ou pas.
Quels ont été les défis pour donner vie à Rey ?
Principalement le costume ! Ça semble ridicule, mais c'était la partie la plus importante. Aussitôt que j'ai eu le bon jean - nous en avons essayé, genre, 1 million ! - Et une fois que nous avons trouvé le bon jean pour lui et les baskets qui étaient un peu trop grandes [tout s'est enchaîné].
On peut définitivement se lier à ce sentiment ! A quel point la mode et les costumes importent dans un film ? Est-ce quelque chose à laquelle vous faites attention ?
C'est énorme pour moi ! C'est bizarre, mais j'avais une apparence spécifique dans The rover - jusqu'à la couleur du tee-shirt. Nous avons fait quelques essais et [quand vous avez trouvé le bon vêtement], soudainement vous marchez différemment.
Quelle a été la scène la plus difficile à tourner ? Il y a tellement de graphisme, de moments de confrontation.
Ma scène la plus dure - et c'est sans doute un peu un cadeau - mais je devais avoir un tuyau le long de ma jambe, avec trois gars contrôlant ma pompe, et c'était probablement ma plus grosse scène dans le film. Je ne savais pas à quel point ce serait compliqué à mettre en place.
Selon vous, qu'est ce qui rend les films australien unique ?
Depuis quelques années, c'est tout à coup devenu un genre unique. Je ne sais pas ce que c'est ! Il y a quelque chose sur le fait d'être si isolé - je pense que ça semble très étranger. Je pense qu'il y a une confiance dans le cinéma qui n'existe pas ailleurs. En Australie, il y a un genre de vitalité. Une vitalité sombre.
Source Via
Traduction : Sabine@therpattzrobertpattinson.blogspot.fr